Momo la Crevette, une cuisine de la mer de très grande classe, mais oubliée du guide Michelin


Dans son Momo la Crevette de Waterloo, Thierry Vanholsbeek pratique des produits de la mer si haut de gamme que Bibendum n’en parle même plus.

Les lecteurs réguliers de cette chronique connaissent mon scepticisme face au célèbre symbole du guide pneumatique. Depuis quelques années, j’ai pris l’habitude de mettre en avant l’une ou l’autre maison que j’ai personnellement beaucoup aimé après cette sortie, et que Bibendum a injustement sanctionné, ou du moins, méprisé.

Cette fois, je n’ai pas eu besoin d’aller très loin pour trouver ce que je cherchais… En effet, s’il s’agit sans aucun doute de l’un des restaurants les plus réputés de Waterloo et, selon moi, d’une des adresses maritimes les plus abordables de du pays, Le sublime Momo La Crevette n’est plus dans la sélection du célèbre guide rouge. On ne parle pas d’étoiles qui n’ont jamais été revendiquées, mais simplement de mentions…

Pour la petite histoire, Momo la Pravette, fondée par Moïse Merali en 2008 et reprise par Thierry Vanholsbeek en 2016, n’a jamais atteint un niveau culinaire aussi élevé. Son propriétaire, diplômé de l’Ecole Hôtelière de Namur, véritable maître des produits de la mer, le reçoit deux fois par jour. C’est pourquoi, comme je l’ai fait mercredi avec mon cher et gentil, je vous conseille vivement d’y jeter un coup d’œil, d’après Michelin, ça ne vaut même pas un simple constat !

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