Pour qui et quand ?Aperçu du projet Macron
Inspection alimentaire. Cela devrait être l’une des premières mesures à entrer en vigueur lors du second quinquennat d’Emmanuel Macron, certainement avant l’été. pour qui? Quelle est la date de paiement ? On fait le point.
généraliser
[Mis à jour le 18 mai 2022 à 08h19] Bien avant le second tour de l’élection présidentielle et le début du second mandat d’Emmanuel Macron, l’idée de nouvelles aides pour tenter de lutter contre les effets néfastes de l’inflation était déjà dans l’esprit du gouvernement. En effet, la création de bons d’alimentation est dans les tabloïds depuis près de deux ans pour donner aux ménages modestes et à bas salaires la possibilité de consommer de la nourriture française, plus bio, tout en facilitant les courts-circuits lorsque les revenus sont maigres. Au final, cela devrait être une tâche clé pour le nouveau gouvernement de la Première ministre Elisabeth Borne, nommée par Emmanuel Macron : lutter contre l’inflation et son impact sur le budget des ménages à travers plusieurs mesures à effet attendu, dont une nouvelle poussée pour manger des chèques. La piste a été animée par des speakers peu après la réélection d’Emmanuel Macron, entre les campagnes, entre les tours, et peu après la réélection d’Emmanuel Macron, la piste a été confirmée peu après la réélection d’Emmanuel Macron. « L’idée, c’est qu’aujourd’hui ce sont près de 8 millions de nos compatriotes qui ont du mal à accéder aux oeuvres locales, aux oeuvres de qualité et à nos oeuvres françaises dans la réalité, donc ils ont besoin de tendre la main pour les aider à les obtenir. » Il était Say.
Serpent de mer du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, le dispositif de chèque alimentaire destiné à venir en aide aux ménages est réapparu pendant la campagne présidentielle, devenant une promesse du candidat sortant réélu à la présidentielle. Comment sera-t-il distribué ou payé ? Qui y aura droit ? Les zones d’ombre sont encore nombreuses, mais le dispositif devrait être lancé à l’été en réponse rapide à l’inflation galopante qui inquiète de nombreux ménages et dévaste les budgets français. La mise en œuvre des inspections alimentaires peut être très complexe. Des modes de paiement aux profils des bénéficiaires, l’équation est complexe.Le programme devrait avant tout bénéficier Jeunes de 18 à 25 ans Leurs revenus sont encore relativement faibles.cette famille avec enfants Les maigres revenus sont également au cœur de la réflexion.
Qui aura droit aux bons d’alimentation ? Qui seront les bénéficiaires ?
Si Emmanuel Macron est réélu et met en place cette nouvelle aide, le chèque alimentaire devrait être un dispositif destiné aux plus démunis.Emmanuel Macron parle de « classes populaires » et de « classes moyennes » dans Bleu, France, 22 mars 2022 classe ». Quelle est la norme ? Existe-t-il un seuil de revenu qui ne dépasse pas l’impôt de référence ? Actuellement, ces questions n’ont pas été arbitrées. A ce stade, il y a plusieurs indices sur la table. En 2021, le ministère de l’Économie a défendu l’idée de confier le dispositif au Centre municipal d’action sociale (CCAS), ciblant ainsi 5 millions de bénéficiaires, un objectif que les Citoyens de l’Assemblée citoyenne proposaient également dans leur rapport.
En tant que secrétaire à l’agriculture, il préfère apporter une aide sous forme de chèques ou de cartes aux « jeunes ou aux familles avec enfants à faible revenu ». L’idée a également été lancée par le député parisien Mounir Mahjoubi, qui a défendu un projet proche de Julien Denormandie.
Les associations caritatives, elles, estiment que le nombre de bénéficiaires potentiels est beaucoup plus élevé, à 8 millions. Plus d’1 million de Français ont eu recours aux banques alimentaires depuis le début de la crise sanitaire en mars dernier, selon une enquête de l’Institut CSA. « Cela ne sert à rien d’avoir moins d’un million de bénéficiaires, le véritable objectif est de 6 à 8 millions », a déclaré le député Mounir Mahjoubi dans un entretien. Le Grand Ouest au printemps 2021.
Les 18-25 ans seront-ils les premiers concernés par les chèques-repas ? Qu’en est-il des étudiants?
Les jeunes seront-ils les premiers bénéficiaires de l’inspection alimentaire d’Emmanuel Macron ? Le 21 avril 2022, à l’invitation de Jean-Jacques Bourdin, le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, a exprimé son soutien, mais a indiqué que l’arbitrage n’avait pas encore eu lieu. « Aujourd’hui, on n’en a pas fini avec ça », a-t-il admis, alors qu’une décision sera prise fin mars. « Aujourd’hui, le nombre de personnes concernées par cette inégalité nutritionnelle est de 8 millions. Pour moi, ma priorité, ce sont les jeunes de 18 à 25 ans ». Il a également précisé qu’un montant de 50 euros était sur la table.
La CAF sera-t-elle responsable de la distribution des coupons alimentaires ?
La Caisse d’allocations familiales ne distribue pas actuellement de coupons alimentaires à travers le pays, mais peut être l’agence en charge du système, liée à l’aide sociale qu’elle verse déjà. Au niveau local, certains programmes d’aide alimentaire sont déjà en place. Il est recommandé de contacter le service d’action sociale de votre caisse. Sur son site dédié, le Caf de Saône-et-Loire a mis en avant une aide ponctuelle mise en place en avril 2020 pour aider les plus démunis à acheter des denrées alimentaires de base. Le dispositif s’adresse alors aux bénéficiaires d’allocations familiales, d’APL, de RSA et de primes événementielles.
Le nombre d’inspections alimentaires n’est pas clair.A l’heure actuelle, seul le député parisien Mounir Mahjoubi a fait une proposition chiffrée, et le prix du chèque sera compris entre 30 et 60 euros par famille et par mois. « Le budget total pourrait passer de quelques centaines de millions d’euros à 2 milliards d’euros », avait déclaré le député à l’ouest de la France en février 2021. « Après, cela va entrer en conflit avec d’autres propositions, comme des dotations spécifiques pour la période Covid. C’est tout l’objet de discussions en cours au niveau gouvernemental », a-t-il ensuite ajouté. La puissante alliance agricole FNSEA propose un dispositif qui vous coûtera 5 euros par jour.Julien Denormandie prépayé le 21 avril 2021 à l’invitation de Jean-Jacques Bourdin 50 euros par mois. Concernant le mode de paiement, aucune décision n’a encore été prise. Chèque, carte bancaire ou virement bancaire, il vous faudra attendre encore quelques semaines pour plus d’informations.
Quels produits seront concernés ? Peut-on tout acheter avec des coupons alimentaires ?
La priorité pour Emmanuel Macron et son gouvernement, ce sont les fruits et légumes. Et français, si possible, en circuit court et bio ! Ce type d’inspection des aliments peut être utilisé dans les supermarchés ou sur les étals des marchés locaux.Sur la base des nombreuses indiscrétions qui ont circulé ces dernières semaines, le montant devrait être fixé à 60 eurosdépensant 4 à 6 milliards d’enveloppes pour le pays.
Quel rôle la CCAS peut-elle jouer dans le système des coupons alimentaires ?
Le Centre municipal d’aide sociale (CCAS) pourrait jouer un rôle central dans la distribution de bons d’alimentation à l’avenir. En tout cas, en 2021, le ministère de l’Économie a défendu l’idée du centre municipal d’action sociale pour assurer la diffusion (voir ci-dessous). En fait, le CCAS a joué un rôle décisif et est le plus en jeu. Ils proposent une aide, qu’elle soit en nature (colis alimentaires) ou financière (aide à la restauration scolaire, bons ou bons d’alimentation, chèques d’accompagnement personnalisé, etc.).
Vous vous demandez si votre commune délivre des bons d’alimentation ? Adressez-vous à votre CCAS car les équipements varient d’un endroit à l’autre. Par exemple, dans la Somme, le CCAS de la commune d’Albert a mis en place un bon d’achat d’une valeur de 25 euros depuis juin 2020. Le nombre de bons varie selon la composition du foyer, de 4 à 7 bons « distribués, renouvelables pour une durée de 2 mois ».
L’inspection des aliments vous permet-elle d’acheter des produits biologiques ?
Ici aussi, le manifeste doit faire l’objet d’un arbitrage dans les plus brefs délais. Dans leur rapport, les Citoyens du Pacte Citoyens pour le Climat ont défendu un dispositif qui permettrait l’achat de « produits durables (issus de l’agroécologie, des circuits courts) » dans un discours aux origines du projet en 2021. « Dans le cadre de la loi EGALIM, le terme ‘durable’ est souvent utilisé pour préciser que 50% des produits doivent entrer dans la composition diététique de la restauration collective (…) », peut-on lire dans leur rapport.
« Le groupe LREM propose des bons d’alimentation (…) [qui] Il sera possible d’obtenir des produits de qualité comme le stipule la loi Egalim : des produits frais avec une marque de qualité – type ou label bio – avec priorité donnée aux fruits et légumes », expliquait alors au quotidien régional en 2021, le vice-ministre LREM Mounir Mahjoubi. ouest de la france« Ouvrir d’autres produits plus chers dans le panier familial n’est pas forcément important. Pour nous, 85% de l’investissement devra revenir aux agriculteurs. Mais nous sommes bien conscients que dans certaines classes populaires et villes il y a un circuit court ou vente à la ferme Il y a très peu de circonscriptions et si on ne travaille pas avec la grande distribution, rien ne sera possible. » La proposition de Bercy d’allouer cette capacité au CCAS est également en cours. « Ainsi, l’Etat paiera la différence entre un panier alimentaire normal et un panier répondant aux critères durables (bio, label rouge, IGP, etc.) tels que définis par la loi Egalim de 2018 », peut-on lire écho.