Qui est Thomas Danigo, le chef qui a plongé Saint-Tropez dans le chaos ?


par le port. porche. La Ponche. De l’autre côté de St Tropez il y a des pierres historiques. Pieds léchés par cette grande dame bleue. Oublié par les légendes : l’hôtel de Simone Duckstein. Le cocon de Sagan, Bardot, Piccoli, Vian, Sartre flirtant avec le sourire du temps…

Hubert et Nicolas Saltiel et Georges Saier reprennent l’adresse iconique. Remis à neuf, sans offenser l’âme. Revisitez, détendez-vous. De la chambre à la terrasse. Du poêle à la salle à manger. Une galaxie poétique confiée au jeune chef Thomas Danigo. Il y a un étranger à la maison…

Trente secondes de réflexion

« Je ne vais pas aller dans le sens de la cuisine, La trentaine a dit. En fait, pendant le Covid, j’ai foiré mon patron monsieur Georges A Paris, il venait d’acquérir l’agence pour aider à l’entretien. m’occuper. « 

Loin de la symphonie des casseroles, pendant un mois, voici les déménageurs temporaires qui ont vidé leurs maisons. Sortez la boîte. Rencontre. Promenez-vous dans ce paisible St Tropez. établi!

« Je suis tombé amoureux du lieu et des gens. Quand j’ai eu le poste, j’y ai pensé pendant trente secondes. Pour la forme. » Le paradis ne peut être nié, surtout après l’enfer. Cette jeunesse chaotique, il l’a esquissée en mots secrets. « Je me réfugiais souvent chez mes grands-parents. Chez moi, la situation était plus compliquée. »

Avec sa grand-mère, son arrière-grand-mère, Thomas se sentait à l’abri de la tempête. « Ils préparent les repas de 12h à 22h. » Il n’est pas gourmand. Comme rien. Sauf pour ces moments élégants. Avec sa grand-mère, était un rempart à son anxiété.

À 14 ans, il s’envole pour le Canada avec son père. Été là. J’ai appris à skier avec le sport pendant trois ans. Faire des petits boulots en tant que plongeur. « J’en ai profité pour regarder Chef. Inconsciemment, j’ai pensé que ça marchait pour moi. » A tel point qu’à son retour dans l’Ancien Monde, il est choqué, et à 17 ans, il choisit de faire un CFA à Chartres en alternance.

« Évidemment, le métier m’attirait, même quand je me jetais dans la gueule du loup ! » Le choc est cruel pour Lamb. « Au début, j’étais insulté toute la journée. Parfois violent. Dépassé. » Paradoxalement, Thomas n’a pas blâmé le formateur, un bon disciple endeuillé. « Il m’a changé. Il m’a poussé au-delà de moi-même. » Viser l’excellence.

premier arrivé maharaja système de carte.Puis à l’ombre de l’empereur vedette Alain Pégure Laurentà Paris. « Moi et mon camarade de classe Simon Pinault sommes maintenant mon bras droit dans la capitale, où nous avons commencé comme commis. »

effrayé. empreinte profonde. « Mais ensemble, nous restons unis. Nous persévérons. Nous livrons. » Bientôt, le petit provincial a déchiffré le code. étude. Les erreurs ne sont pas tolérées. Forger une coquille. Un esprit, gravir les échelons.

Du sucre au poivre, à 28 ans, il hérite de la Galangadans l’hôtel Monsieur Georges. « C’est une libération. Je peux faire ce que je veux. » Décorez l’assiette avec des paillettes. Toujours avec ce sentiment « vous pouvez faire mieux ». « A tel point que j’ai suivi les conseils du coach et appris à relativiser. »

Cette quête de la perfection, étoile montante de la gastronomie française, rejoint également son second Guillaume Jesson dans son la ponche, « Ma nouvelle famille »Avec elle, la tropézienne d’adoption sert une cuisine méditerranéenne inspirée. « Au service des acteurs locaux. Des producteurs que je connais ici. Remerciements particuliers au Chef Eric Canino, de Réservation à Ramatière.

Un ardent défenseur des producteurs locaux

Thomas est plongé dans les livres. Livre de sorts de recettes. Aiguisez son palais avec des produits locaux. Connecté avec les pêcheurs de Cogolin, le duo italien Enrico et Luca. Succombez à l’huile d’olive d’Eric Barnéoud. J’adore le fromage de Julien Ragusa. Laissez-vous fasciner par Yan Ménard et sa jument Traviata. « J’ai goûté ses légumes dans le potager de La Piboule. Tout juste sorti du champ. Quel bonheur. On en parle avec nos clients. À mon avis, c’est capital. »

Il en parle avec amour. De ce rouget en bourse, les fleurs de courgettes sont pleines de Provence, d’harissa et de corsé. Ce thon rouge et melon d’eau avec vinaigrette balsamique ressemble à un gaspacho de tomates épicé.

Oui, avec son amour d’enfance, sa peau triste. L’amour qu’il partageait dans l’assiette. Celui de la Terre. où ses pieds se sont arrêtés. Il aime beaucoup la mer. Son coton d’évasion. toujours l’amour, « Mon slogan, tatoué sur ma peau »N’oubliez jamais l’important…

Write A Comment