La nutrition. Quel type de poisson devriez-vous manger?


Deux fois par semaine, y compris les poissons gras (sardines, maquereaux, harengs, saumon). Ceci est recommandé par le PNNS. Sachez qu’une portion équivaut à 100 grammes, un petit pavé de saumon ou une boîte de sardines.

faire quoi?

« Le poisson (…) fournit des protéines et du fer de haute qualité », désigne le PNNS. C’est aussi une source de phosphore, d’iode, de zinc, de cuivre, de sélénium et de fluorure, ainsi que de vitamines A, D et E nécessaires à une bonne santé.

De plus, les poissons gras sont riches en Oméga-3, des acides gras dits « essentiels » car l’organisme ne sait pas les synthétiser. « Ils contribuent notamment à améliorer la santé cardiovasculaire, rétinienne, cérébrale et du système nerveux. »

Si vous vous en tenez à deux portions par semaine, cela équivaut à « 300 à 500 mg d’acides gras oméga-3 par jour », la quantité recommandée par l’Organisation mondiale de la santé.

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Pourquoi est-ce différent ?

Malheureusement, du fait de la pollution, les poissons « peuvent accumuler des polluants chimiques en filtrant l’eau de mer ou en se nourrissant d’autres poissons », note l’Anses.

Parmi ces substances, on peut citer « les dioxines, les biphényles polychlorés ou le méthylmercure, qui, en cas d’exposition excessive, peuvent avoir des effets nocifs sur la santé ». Riches en PCB et en dioxines, les poissons gras comme l’anguille, ainsi que certains poissons bioaccumulables comme la sardine, le vivaneau, la carpe ou le silure.

Pour le méthylmercure, les poissons prédateurs sauvages comme le thon, la lotte ou la dorade sont les plus concernés.

la solution? Mélangez un poisson gras riche en acides gras oméga-3 (saumon, sardine, maquereau, hareng) avec un autre poisson (cabillaud, cabillaud, cabillaud, plie, etc.) pendant une semaine.

Changez également le type et l’emplacement de l’approvisionnement et ne mangez de l’anguille que dans des circonstances exceptionnelles. En même temps, comme le souligne le WWF, cela permet de « répartir mécaniquement la pression sur les ressources marines », qui ne cessent de s’épuiser.

Pensez également à « rechercher les labels MSC, ASC ou BIO indiquant que votre poisson est issu d’une source responsable, c’est-à-dire issue d’une pêche ou d’une aquaculture durable certifiée », précise le WWF.

Conseils spécifiques pour les personnes vulnérables du public

« Pendant la grossesse et avant l’âge de 3 ans, le cerveau d’un enfant est particulièrement vulnérable aux effets toxiques des polluants chimiques, notamment le méthylmercure et les biphényles polychlorés », note l’Anses. C’est pourquoi il est recommandé de limiter la consommation de poissons prédateurs sauvages (lotte, bar, bonite, carangue, grenade, flétan, brochet, vivaneau, raies, espadon, thon, etc.) ; d’éviter l’espadon, le marlin, le siki, le requin et la lamproie limiter la consommation de poissons d’eau douce comme l’anguille, la raie, le vivaneau, la carpe, le silure.

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