préparer du poisson fumé
Quelques astuces pour sniffer son propre poisson !
Un poisson frais de qualité se déguste de différentes manières : cru en tartare ou en ceviche, cuit chaud sur le gril, cuit chimiquement en sauce salée. Personnellement, je trouve que c’est le meilleur !
Le fumage est l’une des plus anciennes méthodes de conservation des aliments et reste l’une des plus recherchées aujourd’hui. Nos ancêtres européens utilisaient cette technique il y a plus de 2 000 ans, et les peuples autochtones l’utilisent depuis bien plus longtemps !
En raison de ses propriétés antioxydantes et antibactériennes, les vapeurs peuvent provoquer une déshydratation. Il protège les poissons et autres aliments des bactéries, champignons et moisissures tout en préservant leurs nutriments.
Pour le poisson fumé à froid, la température ambiante doit être maintenue en dessous de 80°F. Avec cette méthode, le poisson n’est pas du tout cuit. Seule la fumée modifiait ce dernier : elle pénétrait dans les fibres du poisson, changeait son pH et formait une petite coquille autour de lui. Fumé à chaud, cuisant à environ 150-200°F, cela cuit le poisson et lui donne une belle saveur fumée. Cette méthode est généralement plus simple, mais ne conserve pas le poisson comme le fumage à froid.
Pour les deux techniques, le poisson doit d’abord être salé pour éliminer la majeure partie de l’humidité qu’il contient et pour l’assaisonner. Pour l’épice, on privilégie un mélange avec beaucoup de sel et de sucre, ainsi que de la bonne vanille pour une saveur parfaite. Vous pouvez également combiner facilement du sel, de la cassonade et des épices à steak à la montréalaise pour des résultats inégalés !
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