Restaurez votre immunité cet automne


Le système immunitaire des Nord-Américains est touché à l’automne et l’alimentation peut aider à le renforcer.

Grippe, rhume, problèmes d’estomac, fièvre… ah ! Nous serions mieux sans virus et bactéries pendant ces périodes froides de l’année. La fatigue de la rentrée scolaire et le manque de lumière rendent notre corps plus sensible aux « agressions » du monde extérieur. La nourriture peut-elle nous aider à combattre ces infections ? Oui, mais pas toujours !

bien manger, juste ce qu’il faut

La pollution de l’air, le tabac, le manque d’exercice, le stress et le sommeil peuvent également affecter l’efficacité de notre système immunitaire. Mais une chose est sûre, lorsque nous mangeons de manière équilibrée et sans carences nutritionnelles, la capacité de notre corps à combattre les infections est renforcée.

Alors, misez sur une abondance de légumes et de fruits dans votre assiette pour faire le plein de vitamines et de minéraux, alliés de votre système immunitaire.

Théories à tester…

Nous ne connaissons pas la formule magique qui permet à notre système immunitaire d’améliorer son fonctionnement. De nombreux nutriments jouent un rôle important dans notre immunité : vitamine A, vitamine E, zinc, fer, cuivre… Pourtant, nous manquons encore rarement de ces types de nutriments. Les chercheurs creusent donc profondément pour trouver les meilleurs moyens d’améliorer l’efficacité de nos défenses.

Vitamine C : Contrairement aux idées reçues, les comprimés de vitamine C ne réduisent pas la fréquence des rhumes et des grippes. En excès, l’acide ascorbique (vitamine C) est excrété dans nos urines. D’autre part, des études ont montré que la prise de suppléments peut réduire les symptômes d’une demi-journée. A voir si ça vaut le coup !

Restriction calorique : Chez les animaux, la réduction de l’apport énergétique (ou calorique) réduit le vieillissement normal du système immunitaire. Mais cette théorie n’a pas encore été testée chez l’homme. À l’inverse, ne pas manger suffisamment peut augmenter le risque d’infection potentielle.

Probiotiques : Certaines souches (types de probiotiques) semblent être plus efficaces que d’autres. Le dosage des probiotiques est également un facteur important à considérer. Maintenant, nous devons encore faire plus de recherches pour déterminer quelles doses et quels probiotiques utiliser. Par exemple, on sait que L. fermentum (souches PL9005 et PL9011), L. paracasei NCC2461, L. rhamnosus HN001 et B. lactis HN019 sont des probiotiques prometteurs. Cependant, ces études ont été principalement réalisées sur des souris malades ou vieillissantes. Nous n’avons pas fini de poser les questions scientifiques.

Une chose est sûre, beaucoup de gens préfèrent les astuces de prévention des maladies de « grand-mère » : échinacée, thé au citron, croquer dans un oignon ou une gousse d’ail, etc. Ces méthodes ne sont peut-être pas scientifiquement prouvées, mais si elles semblent avoir un effet positif sur vous, pourquoi ne pas les essayer ?

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