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Claudie Keala

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cuire des pâtes


Voici une façon simple de faire cuire des pâtes :

Dans une grande casserole, mélanger l’eau, le sel et un peu d’huile.

Porter à ébullition, ajouter les pâtes et remuer.

Lorsque l’eau recommence à bouillir, remuez-la une dernière fois et éteignez le feu, couvrez le chaudron et placez-le sur la cuisinière.

Pour une cuisson al dente, attendre 11 minutes pour les spaghettis et 12 à 13 minutes pour les spaghettis.

C’est un succès à chaque fois, fini les pâtes collantes ou les déversements !

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cuire des pâtes


Voici une façon simple de faire cuire des pâtes :

Dans une grande casserole, mettre de l’eau, du sel et un peu d’huile.

Porter à ébullition, ajouter les pâtes et remuer.

Lorsque l’eau recommence à bouillir, remuez une dernière fois et éteignez le feu, couvrez la grande casserole et placez-la sur la cuisinière.

Pour une cuisson al dente, attendre 11 minutes pour les spaghettis et 12 à 13 minutes pour les spaghettis.

Un succès à chaque fois, fini les pâtes collantes ou les vermicelles !

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Lait


Rien ne va mieux avec un dessert qu’un bon verre de lait. Qui n’a jamais eu de barbe blanche sur la lèvre supérieure après avoir avalé goulûment une gorgée rafraîchissante. Mais savez-vous ce qui rend le lait blanc ?

Le lait est composé de 7 composants de base : eau, matières grasses, protéines, sucre (lactose), minéraux, vitamines et enzymes.

La blancheur du lait provient des protéines, des graisses et des minéraux qui le composent. Ensemble, ils reflètent toutes les couleurs de lumière, ce qui donne une couleur blanche laiteuse typique.

En particulier, la caséine est souvent citée. C’est une protéine riche en calcium qui aide grandement à blanchir le lait.

Cependant, la graisse ne peut pas non plus être ignorée. En effet, plus le lait est gras, plus il sera blanc. C’est pourquoi le lait écrémé (0,1 % de matières grasses) est bleu par rapport au lait homogénéisé (3,25 % de matières grasses).

Ce n’est donc pas seulement la présence de calcium qui donne au lait sa belle couleur blanche, c’est aussi l’interaction entre tous les composants du lait !

Quelques faits intéressants sur les vaches

Les vaches sont herbivores et tournent leur langue sur l’herbe avant de brouter !

Ils ont 4 estomacs.

Les agriculteurs traient environ 300 jours par an, 2 à 3 fois par jour.

Les vaches ont 32 dents, tout comme les humains !

Quelques faits sur le lait

Les aliments riches en calcium ne signifient pas que vous en absorberez beaucoup. En effet, la présence de vitamine D facilite grandement l’absorption du calcium.

L’intolérance au lactose est l’incapacité à digérer les sucres du lait. Environ 75% de la population mondiale souffre d’intolérance au lactose.

Les personnes d’ascendance principalement européenne et nordique tolèrent le lait de vache. Les personnes d’origine asiatique, arabe, juive, africaine et amérindienne ne peuvent généralement pas le digérer.

Les besoins en calcium varient avec l’âge. Les adultes devraient prendre 1000 à 1500 mg par jour. L’apport en calcium doit être augmenté avec l’âge pour prévenir l’ostéoporose.

Il n’y a pas d’études qui montrent les effets nocifs d’une absorption excessive de calcium.

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banane


Explorez l’histoire, les variétés et les utilisations culinaires des bananes.

Les bananes ont une très longue histoire, il y a donc beaucoup de place pour l’interprétation. Les historiens et les experts ne sont pas toujours d’accord sur certains points. Cependant, certains faits sont bien connus et peu contestés.

Les bananes sauvages seraient originaires d’Asie, plus précisément des régions de Malaisie et d’Indonésie. Les bananes comestibles existent en Inde depuis des milliers d’années. Les anciens Grecs le savaient depuis longtemps. On dit que c’est lors de la conquête de l’Inde par les armées d’Alexandre le Grand que le fruit est apparu en Europe.

Le philosophe grec Théophraste raconte une légende sur l’origine des bananes en Grèce. Un jour, un sage s’assiéra à l’ombre d’un bananier et découvrira ses fruits. Goûtez la banane et il la trouvera délicieuse. Depuis lors, le fruit est appelé « la banane du sage », qui est aussi son nom botanique le plus célèbre, Musa sapienta.

Vers l’an 1000 après JC, les bananes se sont répandues dans le sud de la Chine, les îles du Pacifique et l’Afrique. Il n’a fallu que 400 ans pour que ce fruit soit cultivé sur tout le continent africain. Sa culture s’est étendue au Moyen-Orient, mais elle n’a pas été développée davantage en raison du climat froid du sud de l’Europe. Les bananes n’ont été consommées en Europe que vers 1400.

Les Portugais, puissance coloniale à l’époque, transportaient des bananiers de Guinée vers les îles Canaries au large de l’Europe. Cela peut expliquer l’origine du mot « banane », car le fruit est appelé « banane » en Guinée. Depuis lors, les îles Canaries sont un important producteur de ce fruit. C’est à partir de ces îles que les missionnaires ont exporté des bananiers vers l’Amérique centrale. Les bananes ont progressé si rapidement en Amérique du Sud que beaucoup de gens croient encore que les Aztèques cultivaient le fruit, ce qui est faux.

Vers 1870, deux Américains décident de monter une entreprise d’import-export pour cultiver des bananiers sur des terres vierges d’Amérique centrale. Ils importent ensuite les bananes sur les marchés locaux de Boston, New York et de la Nouvelle-Orléans. L’expérience a été si lucrative que bientôt les Américains ont incorporé des bananes dans leur alimentation, et les Européens ont suivi. Ces derniers fondent des entreprises dans leurs colonies tropicales et inondent leur marché intérieur de bananes.

Depuis, la banane fait partie de l’alimentation de base de tous les pays industrialisés.

Variété

Lorsque nous parlons de bananes, une image mentale se forme immédiatement dans notre esprit. On imagine un long fruit jaune qui devient tendre quand on le croque. Cependant, ce n’est qu’une des nombreuses variétés de bananes sur la planète.

Les bananes sont cultivées dans les climats tropicaux et exportées vers les climats tempérés. Ils doivent endurer d’innombrables manœuvres et mûrir lentement alors qu’ils voyagent pendant de longues périodes dans leurs cabines. C’est la banane douce (Musa sapienta, Musa nana) dans notre supermarché. Ces bananes sont cueillies au début du cycle de maturation et restent fermes pendant plusieurs semaines après la récolte.

Les bananes jaunes telles que nous les connaissons sont les bananes douces de la variété Gros Michel. Sa peau épaisse est parfaite pour l’exportation, et il a juste assez de saveur pour satisfaire les nordistes. Il a longtemps été cultivé en Asie du Sud-Est et au Sri Lanka, mais maintenant on le trouve partout dans le monde, principalement en Amérique centrale et dans les Caraïbes.

Une autre banane douce très populaire mais moins familière est la naine Cavendish. Il a un goût plus prononcé que le Gros Michel Banane. Ce fruit est principalement cultivé en Asie. Sa petite taille et sa couleur de peau terne ont gêné sa sortie. Pour cette raison, on le voit rarement dans les supermarchés occidentaux. Parfois, vous les trouverez sur les marchés des régions chinoises ou asiatiques des grandes villes.

De plus en plus de petites bananes rouges font leur apparition dans nos rayons. Ils sont délicieux, mais ils ont une courte durée de conservation car ils se gâtent rapidement. Pour ne rien arranger, ils sont fragiles, ce qui augmente les précautions nécessaires à la sortie.

Une autre famille de bananiers de plus en plus commercialisée au Canada est le plantain, parfois simplement appelé plantain (Musa paradisiaca). Cette banane est beaucoup plus dure que les bananes douces et ne doit être consommée qu’une fois cuite. Pour cette raison, on les appelle aussi bananes à cuire.

Le plantain est principalement consommé dans les pays africains. En fait, cette famille de bananes contient plus d’amidon que de sucre. C’est pour cette raison qu’ils doivent être cuits afin de transformer l’amidon en sucre. Le plantain est également moulu en farine.

Enfin, il existe de nombreuses variétés de bananes non comestibles (Musa textilis, Musa ensete).

Culture et économie mondiale

Les bananes poussent sur un faux arbre appelé bananier. Un bananier est en fait un bouquet de feuilles ensemble, sans véritable tronc. La plante meurt après la maturation du fruit et se régénère sur la même racine l’année suivante. Par conséquent, on peut dire que les bananiers ont de nouveaux troncs chaque année.

Les bananes poussent au milieu des feuilles de bananier. Les bananes sont disposées en groupes de 10 ou 20 face vers le haut. Il peut y avoir 15 rangs comme celui-ci : Le bananier peut fournir jusqu’à 100 livres de bananes par récolte !

Les bananes sont toujours cueillies avant maturité, même lorsqu’elles sont consommées directement sur place. En effet, les bananes mûries sur des bananiers ont un goût amer désagréable.

Saviez-vous qu’il y a des bananiers au Québec? En effet, le Jardin botanique de Montréal possède une serre dédiée aux plantes tropicales économiques, où l’on peut voir les plantes dont sont issus la cannelle, le caféier, le figuier et, bien sûr, le bananier ! Je recommande cette visite si vous habitez dans la région ou prévoyez de visiter bientôt.

Le rendement élevé des bananiers apporte des bénéfices considérables aux entreprises qui exploitent les plantations. Il existe actuellement un déséquilibre dans la culture de ce fruit, ce qui a suscité de nombreux mouvements de commerce équitable.

En résumé, la situation est la suivante : les bananeraies d’Amérique centrale appartiennent à des multinationales américaines, les bananeraies d’Asie et d’Afrique appartiennent à des multinationales européennes. Les intérêts économiques de ces entreprises et leur importance dans les petits pays pauvres sont très importants. Ces sociétés s’appellent United Brands (Chiquita), Del Monte, Castle & Cook (Dole), Fyffes.

Depuis le début des années 1990, ces groupes se livrent une guerre commerciale sans merci pour prendre le contrôle de cet important marché. Cette guerre des prix a fait que les bananes se sont retrouvées sur nos étagères à 19 cents la livre. Les pesticides sont largement utilisés dans des zones à la biodiversité unique : les pays producteurs n’ont pas la force de concurrencer les multinationales.

De plus, ces sociétés contrôlent l’ensemble du commerce de la banane, de la culture à l’expédition. Ce monopole s’explique par le fait que seulement 4% des ventes vont aux pays producteurs, le reste va dans les poches des multinationales.

Face à ce constat, le commerce équitable a vu le jour. Connu avant tout pour la culture du café, le commerce équitable vise avant tout à supprimer l’intermédiaire entre consommateurs et producteurs. De cette façon, l’argent que le consommateur dépense dans le pays importateur revient directement au producteur. Malheureusement, les coûts associés aux produits Fairtrade restent élevés car les quantités produites sont encore faibles.

Il y a deux solutions : forcer les multinationales à changer leurs pratiques ou rendre plus accessibles les produits du commerce équitable. Les nouvelles sont bonnes sur les deux fronts.

Le Better Banana Project (BBP) a été créé en 1992 pour établir des normes pour la production de bananes. Le projet permet aux producteurs d’être mieux rémunérés et d’établir des normes environnementales autour des bananeraies. En novembre 2000, un distributeur multinational de bananes Chiquita a rejoint le projet, devenant ainsi la première multinationale à le faire. Nous espérons que d’autres suivront.

De plus, le Fair Fruit Group de la Colombie-Britannique a commencé à vendre des bananes équitables au Canada. Actuellement, le commerce est limité au sud de la Colombie-Britannique, mais le groupe espère étendre sa distribution à travers le pays.

Pour en savoir plus sur la culture de la banane, je vous recommande de visiter l’excellent site Oneworld, qui tente de fournir des informations différentes des médias traditionnels. Malheureusement, la plupart des sites de ce type sont en anglais, mais pour ceux qui lisent la langue de Shakespeare, OneWorld a un excellent document sur les bananes.

Et si vous doutez de l’impact économique des bananes, je vous invite à visiter Agriculture Canada, qui présente l’économie derrière la guerre commerciale entre les États-Unis et l’UE sur le commerce de la banane.

la valeur nutritionnelle

D’un point de vue nutritionnel, la banane est un fruit extrêmement sucré. C’est un fruit très peu gras, ne représentant que 0,4% de son poids. En revanche, il est riche en glucides, notamment en potassium. C’est une véritable mine de potasse.

Le potassium est utile lors de la contraction de nos muscles et de nos influx nerveux. Il est également nécessaire dans certaines réactions chimiques internes qui ont lieu dans le foie et le cœur, aidant à maintenir l’équilibre hydrique des cellules. Un état de fatigue persistant peut entraîner une carence en potassium.

De plus, les bananes sont également riches en vitamines A et C. Une banane de taille moyenne fournit environ 93 calories.

acheter et garder

Bananes mûres mûres sur les étagères des supermarchés. Vous pouvez savoir si une banane est mûre par la couleur de sa peau. Une banane encore verte n’est pas encore mûre, pour être parfaite, elle doit être jaune, légèrement brillante, et peut avoir quelques taches brunes ou noires. Ceux-ci peuvent révéler…

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Presse-agrumes


Comme la plupart des Nord-Américains, je ne mange pas assez de fruits et de légumes. Je devrais avoir au moins deux portions par repas. Pire encore : je devrais manger plus de légumes au lieu de fruits !

Avec cette culpabilité, j’ai commencé à boire du jus de carotte. Je pense que cela me permet d’avoir plus de vitamines et de minéraux sans avoir à manger de légumes entiers. Quelle révélation ! J’aime tellement le jus de carotte que je possède maintenant un presse-agrumes ! Voici quelques conseils et astuces concernant ces appareils.

équipement

La première chose à savoir est que nous n’achetons pas un presse-agrumes mais une centrifugeuse.

En fait, juicer est tiré du mot anglais pour « juicer ».

Le principe de l’appareil est simple : vous glissez le fruit ou le légume, et le hachoir broie les aliments. Celui-ci tombe dans un récipient en rotation rapide dont les parois sont des filtres très fins. Le jus passe ensuite à travers le filtre et la pulpe est rejetée.

Il existe également des presse-agrumes uniquement pour extraire le jus des oranges, des citrons, des pamplemousses, etc.

Dans ce cas, placez un demi-agrume sur la presse et démarrez. La presse se déplace rapidement et recueille le jus et la pulpe des oranges, etc.

jus

Voici quelques jus possibles :

  • carottes et céleri

  • Carottes et pommes Granny Smith

  • carottes et betteraves

  • Carottes, épinards et oranges

  • Carottes, Céleri et Pommes

  • pamplemousse

  • Fraises et dattes

  • Ananas

  • Ananas et Concombre

  • fraise et noix de coco

  • mandarine

  • Fraises, cerises, prunes et dattes

Notez que certains aliments contiennent plus de jus que d’autres. Par conséquent, les carottes, les pommes et les poires ne contiennent pas beaucoup de jus. Pour cette raison, il est préférable de les combiner avec d’autres ingrédients pour éviter des coûts astronomiques.

conseils de préparation des aliments

Enlevez toujours les grosses graines et les noyaux des fruits et légumes.

Les aliments à peau fine n’ont pas besoin d’être épluchés.

Les pommes et les poires peuvent être utilisées directement sans les éplucher ni les dénoyauter.

Coupez les tiges des petits fruits comme les raisins.

Les aliments qui ne nécessitent pas d’être épluchés (carottes, pommes, poires, etc.) mais purifient la saveur du jus.

Les feuilles doivent être enroulées. Ils seront plus faciles à manipuler.

Les baies conviennent rarement aux centrifugeuses car elles contiennent de la pectine, une gelée naturelle. Faites attention aux couteaux, car ils peuvent également ne pas convenir : lisez le manuel du fabricant.

Rendement

J’ai acheté un presse-agrumes, j’ai feuilleté le manuel du fabricant et j’ai décidé de me faire un bon jus de carotte. N’est-ce pas la principale raison de cet achat ?

Alors j’ai commencé à éplucher les carottes. Une carotte, deux carottes, trois carottes… Après un sac de 5 livres, je me suis retrouvé avec une vingtaine de carottes épluchées.

J’ai fourré les carottes dans l’extracteur de jus et j’ai été déçu. Un sac de carottes de 5 livres ne fait qu’un seul grand verre de jus de carotte !

J’ai essayé d’utiliser des agrumes. Une caisse d’oranges, soit environ 35 oranges, fournit 1,2 litre de jus fraîchement pressé. C’était mieux, mais un peu décevant.

Les performances de ces appareils laissent donc beaucoup à désirer. Un verre de jus c’est cool, mais ça commence à coûter cher. Je comprends maintenant pourquoi tant d’appareils terminent leur carrière dans le placard, pour ne voir la lumière que lorsque le prochain déménagement arrive.

comme conclusion

Rien ne vaut le goût du jus frais. Cependant, avant d’acheter un tel appareil, demandez-vous si vos dépenses justifient l’achat. Si vous ne buvez qu’occasionnellement du jus frais, il y a fort à parier qu’une fois la fraîcheur passée, cet appareil se fera vite oublier.

Profiter de votre déjeuner!

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porc dans la cuisine


Les cochons sont des mammifères. Lorsqu’il a été domestiqué, le mot « cochon » était parfois utilisé, mais le mot se perd de plus en plus dans l’élevage.

Les porcs domestiques sont les parents immédiats des sangliers. Pour la consommation humaine, les jeunes porcs sont consommés avant d’atteindre la maturité sexuelle. Les porcs adultes sont appelés sangliers.

Les jeunes cochons sont des animaux très sympathiques et faciles à élever, ce qui explique pourquoi la domestication est ancienne. On estime qu’il date de plus de 10 000 ans, mais il est difficile d’en préciser la date. Cependant, des traces d’agriculture ont été trouvées dans le Croissant Fertile au Moyen-Orient datant de 9 000 ans.

Les porcs sont élevés aujourd’hui en Europe, en Amérique et dans certaines parties de l’Asie. Cependant, c’est une viande interdite par le judaïsme et les musulmans.

Une partie de la popularité de cet animal vient de sa polyvalence dans la cuisine. En effet, comme le dit l’expression populaire, tout va bien avec les cochons ! De plus, cet animal est facile à manger, grandit vite et offre une variété de produits : morceaux tendres, abats, lardons, etc.

Les porcs étaient historiquement considérés comme des animaux sales. Il mange des ordures. Les conditions d’élevage des porcs ainsi que les éleveurs laissent souvent à désirer. Parfois, les éleveurs vivent au deuxième étage de leur résidence tandis que les porcs vivent au premier étage. Pour cette raison, le cochon était considéré comme un animal paysan, même si certains plats préparés à partir de sa viande étaient appréciés de la classe dirigeante.

Pour de nombreuses familles, le porc est la seule source de viande pour l’année. Trop pauvres pour avoir du bétail ou des moutons, l’abattage des porcs devient un moment de fête. On n’a qu’à penser aux festivités entourant le méchoui pour se remémorer ces jours anciens.

Le porc a de nombreux tabous. Bien que l’animal ait été élevé en Mésopotamie occupée par les juifs et les musulmans, ces cultures le rejettent maintenant. On pense que l’interdiction de manger du porc a peut-être été historiquement motivée par la nécessité de se protéger des minuscules vers qui habitent parfois le porc. La viande insuffisamment cuite ne tue pas ces parasites, ce qui peut avoir des conséquences néfastes pour ces personnes, donc manger cette viande est officiellement interdit.

Le porc était si populaire au Moyen Âge que la valeur d’un terrain boisé était déterminée par le nombre de cochons qui pouvaient y vivre ! De nombreuses fermes laitières élèvent également des porcs : ils sont nourris avec des restes de fromage et de beurre.

Les colons ont apporté du porc aux Amériques. À Jameston, l’une des premières colonies britanniques des Amériques, les porcs étaient élevés sur une île distincte, toujours nommée d’après l’île aux Cochons. Les colons français ont également introduit le porc en Nouvelle-France. Cependant, avec l’industrialisation de l’élevage, la race québécoise n’est pas issue de ces porcs historiques !

Le porc québécois est une véritable industrie. La viande produite ici est vendue sur le marché international. En 1997, 5,4 millions de porcs employaient 29 000 personnes. L’économie de cette industrie est impressionnante : 3,7 milliards de dollars ! Cette industrie agricole se classe au deuxième rang au Québec, après l’industrie laitière.

Au fil des années, les techniques d’élevage n’ont cessé d’évoluer et ont dû faire face aux contraintes du marché. Sélectionnez les races de porcs pour fournir une production de viande optimale, surveillez l’alimentation et contrôlez les conditions d’élevage. Selon la demande des consommateurs, ce contrôle se traduit par une viande plus riche en protéines et moins grasse.

Malheureusement, l’élevage industriel à cette échelle peut parfois causer des problèmes de voisinage et des problèmes environnementaux. Les détracteurs de l’industrie porcine font régulièrement la une des journaux. Dans cette chronique, je me concentrerai uniquement sur les aspects nutritionnels du porc.

Cependant, je vais prendre un risque avec ce commentaire. Je ne crois pas que l’industrie soit parfaite, loin de là. Sauf si certaines variétés sont privilégiées au détriment d’autres, n’est-ce pas parce que les consommateurs exigent le prix le plus bas possible pour la viande maigre ? Débourseriez-vous 5$ pour une côtelette de porc qui respecte pleinement l’environnement et les animaux?

Comme pour les produits du commerce équitable, ne devrions-nous pas être blâmés pour notre demande constante du prix le plus bas au détriment de la qualité ? C’est une question de réflexion… Je n’ai pas toutes les réponses, loin de là, mais voici quelques éléments de réflexion !

L’utilité de la cuisine

La plupart des cuisines nationales ont des plats de porc. Seuls les épices, les saveurs ajoutées et les méthodes de préparation diffèrent. En Allemagne et en Europe de l’Est, le porc est assaisonné de paprika. Au Royaume-Uni, il est traditionnellement préparé avec des oignons et de la sauge. En France, l’ail et le romarin sont les parfums préférés. L’Italie et l’Espagne le font bouillir avec du lait, puis en extraient la sauce. Saupoudrer de coriandre, d’origan et de cumin.

Le porc est une viande blanche qui se décline en plusieurs saveurs. Des fruits, des herbes fraîches, des champignons et des spiritueux rehaussent sa saveur.

Au Québec, il y a différentes coupures. Le porc est coupé en quatre parties : longe, épaule, cuisse et flanc. La viande la plus noble et la plus tendre vient de la longe : il y a les rôtis, les filets, les tunedos et les côtes. La graisse est facilement éliminée de ces coupes, ce qui donne une viande maigre.

Les épaules sont de la viande mijotée, du porc haché et du jambon de pique-nique. Ces coupes sont économiques et faciles à mettre en œuvre. En commençant par les cuisses, il y a les steaks, les lanières, les rôtis d’intérieur et les cubes, qui sont plus tendres s’ils sont marinés dans du vin pendant 2 à 12 heures. Le jambon provient généralement de la cuisse. Le saindoux est la graisse située sur le dos d’un animal. Le bacon vient du côté. Le saindoux est de la graisse de porc.

Au Québec, il n’est plus recommandé de cuisiner le porc car il est exempt de Trichinella depuis près de 20 ans. Pour les rôtis, la température interne de la viande doit atteindre 70°C ou lorsque les jus de cuisson sont clairs. Laisser reposer encore 10 à 15 minutes avant de découper et de servir le rôti.

Comme toute viande hachée, le porc haché doit être cuit. Parce que les micro-ondes cuisent de manière inégale, ils ne sont pas recommandés pour la viande. C’est une bonne idée de couvrir la casserole où le porc est cuit : cela aide à préserver la saveur de la viande. Ajouter peu ou pas de graisse de cuisson lors de la cuisson du porc : La graisse de la viande doit se dégager au contact de la chaleur.

acheter et garder

Comme toutes les viandes, le porc doit être très frais. Nous achetions des morceaux de longe pour les griller. Pour la poêle, choisissez Filet, Côtes, Lanières ou Tunedos. Les cubes sur l’épaule font un ragoût très tendre.

Le porc doit être rose pâle à l’achat. L’odeur doit être douce et agréable. La graisse doit être blanche, ferme et molle.

Le porc sera conservé dans un contenant hermétique. Il peut également être congelé dans un contenant hermétique.

couper

réfrigérateur

réfrigérateur

Frais

journées

mois

rôti, coupé, en dés

2 à 3

3 à 6

Pétoncles, lanières, porc haché

1 à 2

1 à 3

saucisson

2 à 3

2

Transformer

journées

mois

saucisse sèche

3 à 7

1 à 2

jambon entier

3 à 4

2

Bacon

7

1

La décongélation doit toujours se faire au réfrigérateur. La viande sera alors plus juteuse et donc plus savoureuse.

la valeur nutritionnelle

Les anciennes races de porcs disparaissent. En fait, la remise en question des graisses alimentaires favorise les races maigres. Par conséquent, le porc est une viande riche en protéines, en vitamines B, en fer et en zinc.

Le porc au Québec contient beaucoup moins de gras qu’autrefois : de 1987 à aujourd’hui, le même morceau de viande contient 42 % moins de gras !

dernière phrase

Le porc est la chose la plus négligée sur notre table. Alors préparez une recette de porc cette semaine et redécouvrez la viande ! Cela changera certainement votre alimentation.

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Le Lait


Rien de tel qu’un bon verre de lait pour accompagner le dessert. Une gorgée gourmande de vin frais, qui n’a pas de barbe blanche sur la lèvre supérieure. Mais savez-vous ce qui rend le lait blanc ?

Le lait est composé de 7 composants de base : eau, matières grasses, protéines, sucre (lactose), minéraux, vitamines et enzymes.

La couleur blanche du lait provient des protéines, des graisses et des minéraux qui le composent. Ensemble, ils reflètent la lumière de toutes les couleurs, créant le blanc laiteux caractéristique.

La caséine en particulier est souvent mentionnée. C’est une protéine riche en calcium qui contribue grandement à la blancheur du lait.

Cependant, la graisse ne peut pas non plus être ignorée. En effet, plus la teneur en matière grasse du lait est élevée, plus il sera blanc. C’est pourquoi le lait écrémé (0,1 % de matières grasses) a une couleur bleue par rapport au lait homogénéisé (3,25 % de matières grasses).

Ce n’est donc pas seulement la présence de calcium qui donne au lait sa belle couleur blanche, mais le jeu de tous les composants du lait !

Quelques faits intéressants sur les vaches

Les vaches sont herbivores et utilisent leur langue pour retourner l’herbe avant de la manger !

Ils ont 4 estomacs.

Les agriculteurs traient leurs vaches environ 300 jours par an, deux à trois fois par jour.

Les vaches ont 32 dents, tout comme les humains !

Quelques faits sur le lait

Les aliments riches en calcium ne signifient pas que vous en absorberez beaucoup. En effet, la présence de vitamine D facilite fortement l’absorption du calcium.

L’intolérance au lactose est l’incapacité à digérer le sucre du lait. Environ 75 % de la population mondiale est intolérante au lactose.

Ceux qui tolèrent le lait sont principalement des personnes d’origine européenne et nordique. Les personnes d’origine asiatique, arabe, juive, africaine et amérindienne ne peuvent souvent pas le digérer.

Les besoins en calcium varient avec l’âge. Les adultes devraient prendre 1000 mg à 1500 mg par jour. L’apport en calcium doit être augmenté avec l’âge pour prévenir l’ostéoporose.

Il n’y a pas d’études montrant les effets nocifs d’une absorption excessive de calcium.

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banane


Explorez l’histoire, les variétés et les utilisations culinaires des bananes.

Les bananes ont une très longue histoire, ce qui laisse beaucoup de place à l’interprétation. Historiens et experts ne sont pas toujours d’accord sur certains points. Cependant, certains faits sont si bien connus qu’il y a peu de contestation.

Les bananes sauvages seraient originaires d’Asie, plus précisément des régions de Malaisie et d’Indonésie. Les bananes comestibles existent en Inde depuis des milliers d’années. Les anciens Grecs le savaient depuis longtemps. On dit que c’est lors de la conquête de l’Inde par les armées d’Alexandre le Grand que le fruit est apparu en Europe.

Le philosophe grec Théophraste a raconté une légende sur l’origine de la banane grecque. Un jour, un sage s’assiéra à l’ombre d’un bananier et découvrira ses fruits. Essayez une banane et il la trouvera délicieuse. Depuis lors, le fruit est connu sous le nom de « banane des sages », ce qui lui donne son nom botanique le plus célèbre, Musa sapienta.

Vers l’an 1000 après JC, les bananes se sont répandues dans le sud de la Chine, les îles du Pacifique et l’Afrique. Le fruit n’est cultivé sur tout le continent que depuis 400 ans. Sa culture s’étend jusqu’au Moyen-Orient, mais pas plus loin car le climat du sud de l’Europe est trop froid. Les bananes n’ont été consommées en Europe que vers 1400.

Les Portugais, puissance coloniale de l’époque, expédiaient des bananiers de Guinée vers les îles Canaries, au large de l’Europe. C’est peut-être ce qui explique l’origine du mot « banane », puisque le fruit est appelé « banema » en Guinée. Depuis lors, les îles Canaries sont un important producteur de fruits. C’est à partir de ces îles que les missionnaires ont exporté des bananiers vers l’Amérique centrale. Les bananes se sont développées si rapidement en Amérique du Sud que beaucoup de gens croient encore que les Aztèques cultivaient le fruit, ce qui est faux.

Vers 1870, deux Américains décident de créer une société d’import-export et de planter des bananiers sur des terres vierges d’Amérique centrale. Ils importent ensuite les bananes sur les marchés locaux de Boston, de New York et de la Nouvelle-Orléans. L’expérience a été si lucrative que les Américains n’ont pas tardé à incorporer les bananes dans leur alimentation, les Européens n’étant pas loin derrière. Ce dernier crée des entreprises dans ses colonies tropicales et inonde ses marchés intérieurs de bananes.

Depuis lors, la banane fait partie de l’alimentation de base de tous les pays industrialisés.

Variété

Lorsque nous parlons de bananes, une image se forme immédiatement dans notre esprit. On imagine un long fruit jaune tendre quand on le croque. Cependant, ce n’est qu’une des nombreuses variétés de bananes sur la planète.

Les bananes sont cultivées dans des climats tropicaux et exportées vers des régions à climat tempéré. Parce qu’ils naviguent longtemps en cabine, ils doivent supporter d’innombrables manipulations et mûrir lentement. C’est le cas des bananes douces (Musa sapienta, Musa nana) de notre supermarché. Ces bananes sont cueillies au début du cycle de maturation et restent fermes pendant des semaines après la récolte.

Les bananes jaunes telles que nous les connaissons sont des bananes douces de la variété Grand Michel. La peau épaisse convient à l’exportation et le goût est fort, juste adapté au goût des nordistes. Il a longtemps été cultivé en Asie du Sud-Est et au Sri Lanka, mais on le trouve maintenant dans le monde entier, principalement en Amérique centrale et dans les Caraïbes.

Une autre banane douce très populaire que nous connaissons moins est la banane naine Cavendish. Il a une saveur plus prononcée que le Grand Michelle Banana. Le fruit est principalement cultivé en Asie. Il est petit et a un teint terne qui gêne ses exportations. C’est aussi pour cette raison qu’on le voit rarement dans les supermarchés occidentaux. Vous pouvez parfois les trouver sur les marchés des quartiers chinois ou asiatiques des grandes villes.

De plus en plus de petites bananes rouges font leur apparition dans nos rayons. Ils sont délicieux mais ont une courte durée de conservation car ils se gâtent rapidement. Pire, ils sont fragiles, ce qui ajoute aux précautions nécessaires à l’exportation.

Une autre famille de bananes de plus en plus commercialisée au Canada est la banane plantain, parfois simplement appelée banane plantain (Musa paradisiaca). Ces bananes sont beaucoup plus dures que les bananes douces et ne doivent être consommées que lorsqu’elles sont cuites. Pour cette raison, on les appelle aussi bananes bouillies.

Le plantain est principalement consommé dans les pays africains. En fait, cette famille de bananes contient plus d’amidon que de sucre. Pour cette raison, ils doivent être cuits afin de convertir l’amidon en sucre. Le plantain est également moulu pour faire de la farine.

Enfin, il existe de nombreuses variétés de bananes non comestibles (Musa textilis, Musa ensete).

Culture et économie mondiale

Les bananes poussent sur un faux arbre appelé bananier. Un bananier est en fait un bouquet de feuilles sans véritable tronc. La plante meurt après la maturité de son fruit et se régénère l’année suivante sur la même racine. On peut donc dire que le bananier a un nouveau tronc chaque année.

Les bananes poussent au milieu des feuilles de bananier. Les bananes sont disposées en rangées de 10 ou 20, pointant vers le haut. Il peut y avoir 15 rangées de ce type : les bananiers peuvent fournir jusqu’à 100 livres de bananes par récolte !

Les bananes sont toujours cueillies avant maturité, même lorsqu’elles sont consommées directement sur place. En effet, les bananes qui mûrissent sur le bananier ont un goût amer désagréable.

Saviez-vous qu’il y a des bananiers au Québec? En effet, le Jardin Botanique de Montréal possède une serre dédiée aux plantes tropicales économiques, où il est possible de voir les plantes dont on extrait la cannelle, le café, les figues, et bien sûr les bananes ! Je recommande une visite si vous habitez dans la région ou prévoyez de visiter bientôt.

Le rendement élevé des bananiers a apporté des bénéfices considérables aux entreprises qui exploitent les plantations. Le fruit est actuellement cultivé de manière inégale, suscitant de nombreux mouvements de commerce équitable.

En résumé, la situation est la suivante : les bananeraies d’Amérique centrale appartiennent à des multinationales américaines, les bananeraies d’Asie et d’Afrique appartiennent à des multinationales européennes. Les intérêts économiques de ces entreprises et leur importance dans les petits pays pauvres comptent. Ces sociétés sont connues sous le nom de United Brands (Chiquita), Del Monte, Castle & Cook (Dole), Fyffes.

Depuis le début des années 1990, ces groupes se livrent une guerre commerciale sans merci pour le contrôle de cet important marché. Cette guerre des prix a fait que les bananes se retrouvent sur nos étagères pour aussi peu que 19 cents la livre. Les pesticides sont largement utilisés dans des zones à la biodiversité unique : les pays producteurs n’ont pas la force de concurrencer les multinationales.

De plus, ces sociétés contrôlent l’ensemble du commerce de la banane, de la culture au transport. Ce monopole se traduit par ceci : seulement 4 % des ventes vont aux pays producteurs, le reste va aux multinationales.

Face à ce constat, le commerce équitable a vu le jour. Plus important encore pour la culture du café, Fairtrade cherche principalement à supprimer l’intermédiaire entre le consommateur et le producteur. De cette manière, l’argent dépensé par les consommateurs dans le pays importateur revient directement aux producteurs. Malheureusement, les coûts associés aux produits équitables restent élevés car les volumes de production sont encore modestes.

Il y a deux solutions : forcer les multinationales à changer leurs pratiques ou proposer plus de produits équitables. Les nouvelles sur les deux fronts sont bonnes.

Le Better Banana Project (BBP) a été créé en 1992 pour élaborer des normes pour la production de bananes. Le projet a permis d’augmenter la rémunération des producteurs et d’établir des normes environnementales pour les plantations de bananes. En novembre 2000, le distributeur multinational de bananes Chiquita a rejoint le projet, devenant ainsi la première multinationale à le faire. Nous espérons que d’autres suivront.

De plus, le Fair Fruit Group de la Colombie-Britannique a commencé à vendre des bananes équitables au Canada. Actuellement, ce commerce est limité au sud de la Colombie-Britannique, mais espère que le groupe étendra sa distribution à l’ensemble du pays.

Pour en savoir plus sur la culture de la banane, je vous recommande de visiter l’excellent site Oneworld qui essaie de fournir des informations différemment des médias traditionnels. Malheureusement, la plupart de ces sites sont en anglais, mais OneWorld a un excellent document sur les bananes pour ceux qui lisent la langue de Shakespeare.

Et, si vous doutez de l’impact économique des bananes, je vous invite à visiter Agriculture Canada, qui couvre l’économie derrière la guerre commerciale entre les États-Unis et l’Union européenne sur le commerce de la banane.

la valeur nutritionnelle

D’un point de vue nutritionnel, la banane est un fruit extrêmement sucré. C’est un fruit à très faible teneur en matières grasses, ne représentant que 0,4% de son poids. En revanche, il est riche en glucides, notamment en potassium. C’est une véritable mine de potasse.

Le potassium est utile dans la contraction de nos muscles et de nos influx nerveux. Il est également nécessaire dans certaines réactions chimiques internes qui se produisent dans le foie et le cœur, aidant à maintenir l’équilibre hydrique des cellules. Un état de fatigue persistant peut entraîner une carence en potassium.

De plus, les bananes sont également riches en vitamines A et C, et une banane de taille moyenne peut fournir environ 93 calories.

acheter et garder

Bananes mûres sur une étagère de supermarché. Vous pouvez savoir si une banane est mûre par la couleur de sa peau. Une banane encore verte n’est pas encore mûre ; pour être parfaite, elle doit être jaune, légèrement brillante, et peut avoir quelques taches brunes ou noires. Ceux-ci peuvent révéler…

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Presse-agrumes


Comme la plupart des Nord-Américains, je ne mange pas assez de fruits et de légumes. Je devrais manger au moins deux portions par repas. Le pire : j’aurais dû manger plus de légumes au lieu de fruits !

Avec cette culpabilité, j’ai commencé à boire du jus de carotte. Je pense que cela me permet d’obtenir plus de vitamines et de minéraux sans avoir à manger un légume entier. Quelle révélation ! J’aime tellement le jus de carotte que je possède maintenant un presse-agrumes ! Voici quelques conseils et recommandations pour ces appareils.

équipement

La première chose à savoir est que nous n’achetons pas un presse-agrumes, mais une centrifugeuse.

En fait, l’extracteur de jus est un mot britannique, tiré du mot « juice extractor ».

Le principe de l’appareil est simple : glissez un fruit ou un légume, et le hachoir pulvérise les aliments. Il tombe dans un récipient en rotation rapide avec des parois très minces de filtres. Le jus est ensuite passé à travers un filtre et la pulpe est rejetée.

Il existe également des centrifugeuses conçues uniquement pour presser le jus d’oranges, de citrons, de pamplemousses, etc.

Dans ce cas, placez un demi-agrume sur le pressoir et démarrez le pressoir. La presse se déplace rapidement pour recueillir le jus et la pulpe des oranges, etc.

jus

Voici quelques jus possibles :

  • carottes et céleri

  • Carottes et pommes Granny Smith

  • carottes et betteraves

  • Carottes, épinards et oranges

  • Carottes, céleri et pommes

  • pamplemousse

  • fraises et dattes

  • Ananas

  • ananas et concombre

  • fraises et noix de coco

  • orange

  • Fraises, cerises, prunes et dattes

Sachez que certains aliments contiennent plus de jus que d’autres. Par conséquent, les carottes, les pommes et les poires ne contiennent pas beaucoup de jus. Par conséquent, il est préférable de les combiner avec d’autres ingrédients pour éviter des coûts astronomiques.

Conseils de préparation des aliments

Enlevez toujours les grosses graines et les noyaux des fruits et légumes.

Les aliments à peau fine n’ont pas besoin d’être épluchés.

Les pommes et les poires peuvent être utilisées directement sans éplucher ni retirer le cœur.

Coupez les tiges des petits fruits comme les raisins.

Les aliments qui ne nécessitent pas d’épluchage (carottes, pommes, poires, etc.) ; cependant, il nettoie la saveur du jus.

Les feuilles doivent être enroulées. Ils seront plus faciles à manipuler.

Les baies sont rarement bonnes pour un presse-agrumes car elles contiennent de la pectine, une gelée naturelle. Faites attention aux couteaux, car ils peuvent ne pas convenir non plus : lisez le manuel du fabricant.

Rendement

J’ai acheté un presse-agrumes, j’ai feuilleté le manuel du fabricant et j’ai décidé de me faire un bon jus de carotte. N’est-ce pas la principale raison de cet achat ?

Alors j’ai commencé à éplucher les carottes. Une carotte, deux carottes, trois carottes… après un sac de 5 lb, je me suis retrouvé avec environ 20 carottes épluchées.

Je mets les carottes dans l’extracteur de jus et voilà la déception. Un sac de carottes de 5 livres ne fait qu’un grand verre de jus de carottes !

J’essaye la clémentine. Une boîte d’agrumes, soit environ 35 agrumes, fournit 1,2 litre de jus fraîchement pressé. C’est mieux mais un peu décevant.

En tant que tel, les performances de ces appareils laissent beaucoup à désirer. Un verre de jus c’est cool, mais ça commence à coûter cher. Je comprends maintenant pourquoi tant de ces appareils finissent leur carrière dans des placards, pour ne voir le jour que lors du prochain déménagement.

comme conclusion

Rien ne vaut le goût d’un jus de fruits frais de bonne qualité. Mais avant d’acheter un tel appareil, demandez-vous s’il en vaut la peine. Si vous ne buvez qu’occasionnellement du jus frais, vous pouvez être sûr que cet appareil se fera vite oublier une fois la nouveauté passée.

Profiter de votre déjeuner!

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porc dans la cuisine


Les cochons sont des mammifères. Lorsqu’il était domestiqué, le mot porc était parfois utilisé, mais le mot tend à disparaître de plus en plus dans l’élevage.

Le porc domestique est un parent direct du sanglier. Pour la consommation humaine, les porcelets sont consommés avant d’atteindre la maturité sexuelle. Les porcs adultes sont appelés sangliers.

Les jeunes cochons sont des animaux très sympathiques et faciles à garder, ce qui explique pourquoi la domestication est très ancienne. On estime qu’il date de plus de 10 000 ans, mais il est difficile d’établir une date exacte. Cependant, des traces d’agriculture datant de 9 000 ans ont été trouvées dans le Croissant Fertile du Moyen-Orient.

Les porcs sont élevés aujourd’hui en Europe, dans les Amériques et dans certaines parties de l’Asie. Cependant, c’est une viande interdite dans les religions juive et musulmane.

Une partie de la popularité de l’animal vient de sa polyvalence dans la cuisine. En effet, comme le dit le dicton, tout ira bien pour Zhu Bajie ! De plus, l’animal se nourrit facilement, grandit vite et propose une grande variété de produits : filets, abats, bacon, etc.

Les porcs sont historiquement considérés comme un animal sale. Il mange les ordures ménagères. Les conditions dans lesquelles sont élevés les porcs, ainsi que les éleveurs, laissent souvent à désirer. Parfois, les éleveurs vivent au deuxième étage de leurs locaux tandis que les porcs vivent au premier étage. Pour cette raison, le cochon était considéré comme un animal de ferme, même si certains plats à base de porc étaient appréciés par la classe dirigeante.

Pour de nombreuses familles, le porc est la seule source de viande tout au long de l’année. Trop pauvres pour posséder des troupeaux ou des moutons, l’abattage des cochons devient une occasion de fête. Il suffit de penser aux festivités entourant le méchoui pour se souvenir de ces temps anciens.

De nombreux tabous tournent autour du porc. Bien que l’animal ait été élevé dans des régions de Mésopotamie occupées par des juifs et des musulmans, ces cultures le rejettent désormais. On pense qu’historiquement, l’interdiction de manger du porc a peut-être été motivée par la nécessité de se protéger des minuscules vers qui vivent parfois dans le porc. La viande insuffisamment cuite ne tue pas ces parasites, ce qui peut avoir des conséquences néfastes pour ces personnes, elle est donc officiellement interdite.

Au Moyen Âge, le porc était si populaire que la valeur d’un boisé dépendait du nombre de porcs qu’on pouvait y élever ! De nombreuses laiteries élèvent également des porcs : ils se nourrissent de résidus de fabrication de fromage et de beurre.

Les colons ont apporté du porc aux Amériques. À Jamestown, l’une des premières colonies anglaises des Amériques, les porcs étaient élevés sur une île distincte encore connue aujourd’hui sous le nom d’île aux Cochons. Les colons français ont également introduit le porc en Nouvelle-France. Cependant, avec l’industrialisation de l’élevage, les races présentes au Québec ne sont pas des descendantes de ces porcs historiques !

Le porc québécois est une véritable industrie. La viande produite ici est vendue sur le marché international. En 1997, 5,4 millions de porcs employaient 29 000 personnes. L’économie de cette industrie est substantielle : 3,7 milliards de dollars ! Cette industrie agricole se classe au deuxième rang au Québec, après l’industrie laitière.

Les techniques d’élevage ont évolué au fil des ans et doivent faire face aux contraintes du marché. Les races de porcs sont sélectionnées pour fournir le meilleur rendement en viande, les régimes alimentaires sont surveillés et les conditions d’élevage sont contrôlées. Ce contrôle se traduit par des viandes plus riches en protéines et moins grasses, en ligne avec la demande des consommateurs.

Malheureusement, l’élevage industriel à cette échelle peut parfois entraîner des problèmes de voisinage et d’environnement. Les critiques à l’égard de l’industrie porcine font souvent la une des journaux. Dans cette chronique, je me concentrerai uniquement sur les aspects nutritionnels du porc.

Cependant, je prends le risque de commenter. Je ne crois pas que cette industrie soit parfaite, loin de là. D’ailleurs si certaines races sont favorisées au détriment d’autres, n’est-ce pas parce que les consommateurs exigent de la viande maigre au prix le plus bas possible ? Payeriez-vous 5$ pour des côtelettes de porc dans le respect total de l’environnement et des animaux?

Comme pour les produits équitables, ne peut-on pas s’en vouloir d’exiger constamment les prix les plus bas au détriment de la qualité ? C’est une question de réflexion… Je n’ai pas toutes les réponses, loin de là, mais voici quelques éléments de réflexion !

Utile en cuisine

La plupart des cuisines ethniques ont des plats de porc. Seuls les épices, les saveurs ajoutées et la préparation diffèrent. En Allemagne et en Europe de l’Est, le porc est assaisonné de paprika. Au Royaume-Uni, il est traditionnellement préparé avec des oignons et de la sauge. En France, l’ail et le romarin sont les parfums préférés. L’Italie et l’Espagne le cuisinent avec du lait, dont la sauce est dérivée. L’Amérique latine est garnie de coriandre, d’origan et de cumin.

Le porc est une viande blanche qui se marie avec une variété de saveurs. Des fruits, des herbes fraîches, des champignons et des spiritueux rehaussent son goût.

Au Québec, il existe une variété de coupes. Le porc est coupé en 4 parties, longe, épaule, cuisse et flanc. La viande la plus noble et la plus tendre vient de la longe : c’est là que vous trouverez les rôtis, les filets, les rôtis et les côtelettes. La graisse est facilement éliminée de ces coupes, ce qui donne une viande maigre.

L’épaule est composée de cubes de ragoût, de porc haché et de jambon de pique-nique. Ces coupes sont économiques et faciles à réaliser. A partir de la cuisse, il y a les steaks, les lanières, les rôtis intérieurs et les cubes, qui deviennent plus tendres s’ils sont marinés dans du vin pendant 2 à 12 heures. Le jambon provient généralement de la cuisse. Le saindoux est la graisse qui se trouve sur le dos d’un animal. Le bacon est venu sur le côté. Le saindoux est du saindoux.

Au Québec, le porc étant exempt de Trichinella spiralis depuis près de 20 ans, il n’est plus recommandé de le cuire. Pour les rôtis, la température interne de la viande doit atteindre 70°C ou lorsque le jus de cuisson est clair. Laisser reposer 10 à 15 minutes supplémentaires avant de découper et de servir le rôti.

Le porc haché, comme toute viande hachée, doit être cuit et consommé. Non recommandé pour la viande en raison d’une cuisson inégale au micro-ondes. C’est une bonne idée de couvrir la poêle dans laquelle le porc cuit : cela permet de préserver la saveur de la viande. Cuire le porc avec peu ou pas de graisse de cuisson : la graisse de la viande doit se libérer au contact de la chaleur.

acheter et garder

Comme toutes les viandes, le porc doit être acheté très frais. Nous allons le faire griller sur le filet. Pour la poêle, choisissez un filet, des côtes, des lanières ou du jambon. Les cubes d’épaule font un ragoût très tendre.

Lors de l’achat, le porc doit être de couleur rose clair. L’odeur doit être douce et agréable. La graisse doit être blanche, ferme et tendre.

Le porc sera conservé dans un contenant hermétique. Il peut également être congelé dans un contenant hermétique.

couper

réfrigérateur

réfrigérateur

Frais

nombre de jours

nombre de mois

rôtir, hacher, cube

2 à 3

3 à 6

Steaks, lanières, porc haché

1 à 2

1 à 3

saucisson

2 à 3

2

monnaie

nombre de jours

nombre de mois

saucisse sèche

3 à 7

1 à 2

jambon entier

3 à 4

2

lard

sept

1

La décongélation doit toujours se faire au réfrigérateur. De cette façon, la viande sera plus juteuse et donc plus savoureuse.

la valeur nutritionnelle

Les anciennes races de porcs disparaissent. En fait, la remise en cause des graisses alimentaires favorise l’élevage de races plus maigres. Par conséquent, le porc est une viande riche en protéines, en vitamines du complexe B, en fer et en zinc.

Le porc au Québec contient beaucoup moins de gras qu’avant : de 1987 à aujourd’hui, la même coupe de viande a perdu 42 % de gras !

La dernière phrase

Le porc est un énorme plat négligé sur notre table. Alors concoctez une recette de porc cette semaine et redécouvrez cette viande ! Cela changera certainement votre alimentation.

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