A qui profitera 2022 ?


Inspection alimentaire. Emmanuel Macron envisage sérieusement les coupons alimentaires en 2022. Qui servez-vous ? combien ça coûte? lorsque? On vous dit tout.

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[Mis à jour le 2 mai 2022 à 08h16] Engagement à démarrer en décembre 2020, la mise en place des chèques énergie n’a jamais eu lieu jusqu’à présent. Emmanuel Macron La possibilité de mettre en place un tel mécanisme avant le Pacte Citoyen pour le Climat a été évoquée. Décidément, deux ans plus tard, après la réélection du chef de l’Etat, rien n’a changé sur la question. Cependant, les discussions vont bon train et des inspections alimentaires devraient voir le jour en 2022.Le parrain de ce projet, le sénateur Munir Majubé Il avait annoncé l’an dernier vouloir aider les familles les plus démunies, les Français les plus difficiles à manger normalement en leur permettant de « Accès à des produits de qualité, des produits frais labellisés, avec une priorité donnée aux fruits et légumesLa volonté claire d’Emmanuel Macron est de permettre à ces petits salariés de consommer des produits bio en France, tout en soutenant un circuit-court dû à la possible mise en place de bons d’alimentation, face à une inflation galopante (+ 4,5 % en mars sur un an). année) une aide qui pourrait bénéficier à 8 millions de personnes en France.

ministre de l’agriculture Julien De Normandie parlent de mise en œuvre »peu après l’élection« Dimanche 17 avril, cela ne fait aucun doute. Cette nouvelle allocation pourra être allouée directement par la Caf ou par l’Etat. Elle devrait bénéficier aux jeunes de 18 à 25 ans qui sont encore aux revenus relativement modestes. Avec des enfants et des revenus modestes Les familles de sont également au cœur de la réflexion.Ce coupon alimentaire peut être utilisé dans les supermarchés ou sur les étals des marchés locaux.Le montant doit être fixé à 60 eurosdépensant 4 à 6 milliards d’enveloppes pour le pays.

La Caisse d’allocations familiales ne distribue pas de coupons alimentaires sur tout le territoire. Au niveau local, certains programmes d’aide alimentaire peuvent être mis en place. Il est recommandé de contacter le service d’action sociale de votre caisse. Sur son site dédié, le Caf de Saône-et-Loire a mis en avant une aide ponctuelle mise en place en avril 2020 pour aider les plus démunis à acheter des denrées alimentaires de base. Le dispositif s’adresse alors aux bénéficiaires d’allocations familiales, d’APL, de RSA et de primes événementielles.

Le CCAS pourrait jouer à l’avenir un rôle central dans la distribution de bons d’alimentation. En tout cas, en 2021, le ministère de l’Économie a défendu l’idée du Centre municipal d’action sociale pour assurer la diffusion (lire ci-dessous). En fait, le CCAS a joué un rôle décisif et est le plus en jeu. Ils proposent une aide, qu’elle soit en nature (colis alimentaires) ou financière (aide à la restauration scolaire, bons ou bons d’alimentation, chèques d’accompagnement personnalisé, etc.).

Vous vous demandez si votre commune délivre des bons d’alimentation ? Adressez-vous à votre CCAS car les équipements varient d’un endroit à l’autre. Par exemple, dans la Somme, le CCAS de la commune d’Albert a mis en place un chèque d’une valeur de 25 euros depuis juin 2020. Le nombre de bons varie selon la composition du foyer, de 4 à 7 bons « distribués, renouvelables pour une durée de 2 mois ».

Le nombre d’inspections alimentaires n’est pas clair. Actuellement, seul le député parisien Mounir Mahjoubi a avancé une proposition chiffrée, où un chèque coûterait entre 30 et 60 euros par mois et par foyer. « Le budget total pourrait passer de quelques centaines de millions d’euros à 2 milliards d’euros », avait déclaré le député à l’ouest de la France en février 2021. « Après, cela va entrer en conflit avec d’autres propositions, comme des dotations spécifiques pour la période Covid. C’est tout l’objet de discussions en cours au niveau gouvernemental », a-t-il ensuite ajouté. La puissante alliance agricole FNSEA propose un dispositif qui vous coûtera 5 euros par jour. Julien Denormandie prépayé le 21 avril 2021 à l’invitation de Jean-Jacques Bourdin 50 euros par mois.

Si Emmanuel Macron est réélu et met en place cette nouvelle aide, le chèque alimentaire devrait être un dispositif destiné aux plus démunis.Emmanuel Macron parle de « classes populaires » et de « classes moyennes » dans Bleu, France, 22 mars 2022 classe ». Quelle est la norme ? Existe-t-il un seuil de revenu qui ne dépasse pas l’impôt de référence ? Actuellement, ces questions n’ont pas été arbitrées. A ce stade, il y a plusieurs indices sur la table. En 2021, le ministère de l’Économie a défendu l’idée de confier le dispositif au Centre municipal d’action sociale (CCAS), ciblant ainsi 5 millions de bénéficiaires, un objectif que les Citoyens de l’Assemblée citoyenne proposaient également dans leur rapport.

En tant que secrétaire à l’agriculture, il préfère apporter une aide sous forme de chèques ou de cartes aux « jeunes ou aux familles avec enfants à faible revenu ». L’idée a également été lancée par le député parisien Mounir Mahjoubi, qui a défendu un projet proche de Julien Denormandie.

Les associations caritatives, elles, estiment que le nombre de bénéficiaires potentiels est beaucoup plus élevé, à 8 millions. Plus d’1 million de Français ont eu recours aux banques alimentaires depuis le début de la crise sanitaire en mars dernier, selon une enquête de l’Institut CSA. « Cela ne sert à rien d’avoir moins d’un million de bénéficiaires, le véritable objectif est de 6 à 8 millions », a déclaré le député Mounir Mahjoubi dans un entretien. Le Grand Ouest au printemps 2021.

Les jeunes seront-ils les premiers bénéficiaires de l’inspection alimentaire d’Emmanuel Macron ? Le 21 avril 2021, à l’invitation de Jean-Jacques Bourdin, le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a exprimé son soutien, mais a indiqué que l’arbitrage n’avait pas encore eu lieu. « Aujourd’hui, on n’en a pas fini avec ça », a-t-il admis, alors qu’une décision sera prise fin mars. « Aujourd’hui, le nombre de personnes concernées par cette inégalité nutritionnelle est de 8 millions. Pour moi, ma priorité, ce sont les jeunes de 18 à 25 ans ». Il a également précisé qu’un montant de 50 euros était sur la table.

Ici aussi, le manifeste doit faire l’objet d’un arbitrage dans les plus brefs délais. Dans leur rapport, les Citoyens du Pacte Citoyen pour le Climat défendent un dispositif qui permettrait l’achat de « produits durables (issus de l’agro-écologie, du circuit court) ». « Dans le cadre de la loi EGALIM, le terme ‘durable’ est souvent utilisé pour préciser que 50 % des produits doivent entrer dans la composition diététique de la restauration collective (…) », peut-on lire.

« Le groupe LREM propose des bons d’alimentation (…) [qui] Il sera possible d’obtenir des produits de qualité tels que définis dans la loi Egalim : des produits frais avec une marque de qualité – type ou label bio – avec une priorité donnée aux fruits et légumes », a expliqué Mounir Mahjoubi au quotidien régional ouest de la france« S’ouvrir à d’autres produits plus chers n’a pas forcément d’importance dans le panier familial. Pour nous, 85 % de l’investissement devra revenir aux agriculteurs. Mais nous sommes bien conscients que dans certaines classes populaires et certaines villes, est un circuit court ou une ferme. Il y a très peu de circonscriptions qui vendent, et si on ne travaille pas avec la grande distribution, rien ne sera possible. »

La proposition de Bercy d’allouer cette capacité au CCAS est également en cours. « Ainsi, l’Etat paiera la différence entre un panier alimentaire normal et un panier répondant aux critères durables (bio, label rouge, IGP, etc.) tels que définis par la loi Egalim de 2018 », peut-on lire écho.

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