Julien Denormandie défend les « bons alimentaires » de Macron contre les « inégalités nutritionnelles »


La mesure doit soutenir le pouvoir d’achat des ménages modestes et des classes moyennes tout en les incitant à se tourner vers des produits bio ou en circuit court.

C’est l’une des propositions du candidat Macron : créer un « inspection des alimentsConvient aux maisons les plus modestes. L’objectif, défendu par le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien Denormandie, est de pouvoir sévir contre « inégalité nutritionnelle» Une dotation mensuelle pour l’achat de produits en circuit court ou de produits issus de l’agriculture biologique.

« Un poulet brésilien n’a rien à voir avec des poulets élevés en France, où les antibiotiques sont interdits depuis quinze ansCependant, les contours d’une telle mesure restent flous à ce stade. L’idée est née de la Conférence citoyenne sur le climat de 2020, qui a séduit avec succès le gouvernement, qui l’a inscrite dans sa loi d’août 2021 sur le climat et la force ». Pourtant, un mois plus tard, Bruno Le Maire a annoncé que la mesure ne pourrait atteindre l’aube avant 2022, reconnaissant que le dispositif était « très complexe à mettre en oeuvre», et il faut s’assurer qu’il«peut marcher« .

Alors, désormais, le candidat Macron l’actualise sur la campagne électorale. Emmanuel Macron veut y voir un moyen de soutenir le pouvoir d’achat des ménages précaires dans un contexte de hausse des prix de l’énergie et des biens de consommation, tout en étant « unclasse moyenne« , a-t-il déclaré mardi sur France Bleu. Aussi une manière de s’entendreFrais supplémentaires« La pression sur le portefeuille des Français ne devrait pas s’arrêter dans les prochaines semaines, alimentée par la crise. »les prix continueront d’augmenter« Reconnaître Julien Denormandie. »mais nous essayons de réduire les coûts de production [des agriculteurs]« , il ajouta.

Selon l’INSEE, l’inflation devrait dépasser 4% sur l’année en mars, après avoir déjà atteint 3,6% en février. Problématique : Une flambée des prix de l’énergie liée à la guerre en Ukraine, qui a eu un effet d’entraînement sur les prix des produits. Au deuxième trimestre, l’inflation pourrait encore augmenter pour atteindre environ 4,5 %.

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