A Paimpol, les services de santé nutritionnelle évoluent – Paimpol


Les services de soins de suivi nutritionnel et de réadaptation de l’hôpital ont déménagé dans de nouveaux locaux en novembre et demeurent sur place. Le service existe depuis mai 2019 avec une dizaine de places en hospitalisation de jour. C’est le seul du département. Son but est de traiter l’obésité. « Ces espaces permanents ont été entièrement réaménagés », a déclaré Patrick Remy, directeur de l’hôpital. Il y a aussi une aube dans l’agrandissement du bâtiment. Cette SSR Nutrition partagera le plateau technique de la SSR cardiovasculaire. Ce travail a été financé par une enveloppe financière octroyée par le District Health Board. « L’équipement est neuf et adapté à la prise en charge de la population spécifique de patients ici », a poursuivi le directeur de l’hôpital. Ce service prend en charge les adultes en surpoids avec un IMC supérieur à 30.

réunion de six semaines

« C’était un événement qui a tout de suite trouvé du public. Après un démarrage fort, il y a eu deux fermetures pendant la pandémie en 2020. Ça a donné un fonctionnement un peu chaotique ».

L’accès à ces nouveaux locaux se fait par la rue Yves-Marie Le Guyader derrière l’hôpital. Ce service comprend deux ateliers, un gymnase, cinq bureaux distincts, une salle de rééducation physique (vélo, tapis roulant, elliptique, etc.) et deux vestiaires.

Une équipe « pluridisciplinaire » travaille dans ce service. Les patients viennent deux jours et demi par semaine pendant plus de six semaines. « Les jours où ils ne sont pas avec nous, ils ont le temps d’expérimenter à la maison, en essayant de mettre en pratique ce qu’on leur a appris ici. Si le séjour dure six semaines, c’est un long séjour et cela soutient le processus de changement façon », a déclaré le Dr Camille Grall.

« améliorer la qualité de vie »

L’accompagnement se fait en petits groupes. « Ça permet des échanges. Il y a beaucoup de gens qui souffrent d’isolement ou d’isolement dans leurs problématiques. Accompagner les patients à trois niveaux d’adaptation à l’activité physique diététistes, psychologues et éducateurs. Ils travailleront aussi avec des ergothérapeutes, musicothérapeute et infirmière se rencontrent. » L’objectif du programme est d’améliorer la qualité de vie ». Entre rééducation nutritionnelle et soutien psychologique, le service ne se limite pas à la perte de poids. « L’objectif de ce service est d’améliorer la qualité de vie et d’augmenter leur prise de conscience alimentaire », a conclu Dr Camille Grall.

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