Le dernier restaurant Bernavillois à rouvrir à Fienvillers


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Publié le 23/04/22 à 17:18 Le Journal d’Abbeville Voir mon actualité Suivre ce média C’est le début d’une nouvelle aventure pour le chef François Offry de la Ch’tite Auberge, qui promet une cuisine traditionnelle à prix produit. (© Abbeville Magazine)

Son ouverture a été annoncée le 1er avril. Mais finalement début mai, la Ch’tite Auberge de Fenweiler (Somme) va ouvrir ses portes : La compagnie d’assurance de l’acquéreur a demandé à la commune propriétaire du bien de mettre le réseau à niveau.

Dix mois après la fermeture du dernier restaurant du Bernavillois, cette réouverture est la volonté de trois personnes : Jean-François Serret, Reynald Robin et un concierge François Offry, gérant et chef.

« Ici, il n’y aura pas de surgelés, nous n’utiliserons que des produits frais »Engagez-vous dans ce dernier.

« Je ne passe pas »

Le chef de 39 ans a déjà un CV solide. Il a travaillé comme chef CAP et BEP au lycée du Marquenterre à Rue et pendant cinq ans au restaurant La Terrasse à Fort-Mahon, connu pour son restaurant gastronomique et son célèbre bistrot. Il travaillera également comme chauffeur routier aux Hautvillers pendant quatre ans avant de devenir chef de fête à l’ouverture du Comptoir du Malt.

Il deviendra ensuite chef stagiaire au Comptoir du Malt, toujours à Amiens Sud, avant d’accepter le poste de chef au Comptoir du Malt de Shopping promenade à Amiens en 2017. Il y avait seize hommes dans sa brigade.

Les hauts et les bas depuis Lagash

Depuis le départ des Lagaches pour cause de retraite, les repreneurs de Fienvillers ont plus ou moins suivi : un couple qui tenait une friterie et a fondé une épicerie, puis les restaurateurs, et un qui a fermé l’été dernier en raison de la crise sanitaire. Sandrine Mondouet.
Le restaurant appartient au gouvernement de la ville, où des travaux majeurs tels que la rénovation du vestiaire et de la salle de bain sont en cours. Le nouveau gérant emménagera dans le logement ci-dessus. Il suffit d’améliorer la visibilité en installant des panneaux sur les routes départementales, empruntées par environ 3 000 véhicules chaque jour.
L’entreprise est viable : Mme Mondouet, qui a ouvert en septembre 2019, reçoit 110 clients par semaine, avec un chiffre d’affaires en croissance de 5 % à 10 % par mois. Il s’absente plus d’une douzaine de fois par semaine pour vraiment rester sain d’esprit et payer son propre salaire.

uniquement des produits frais

En conséquence, les humains ont subi divers types de récupération. Il peut être résolu dans le temps. « Je n’ai pas réussisourit et assure François AuveryJ’arrive à Fienvillers où j’y suis depuis longtemps et nous allons y aller doucement au fur et à mesure que l’événement se développe. »

Ici, pas de menu tant qu’il y a des bras pour les produits surgelés ou les produits outre-mer. Vous ne mangerez que des produits frais.

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Le menu, composé de trois entrées, trois plats et trois desserts, change toutes les deux semaines et coûte moins de 20 euros, le menu du jour est à environ 10 euros. Vous pourrez déguster des plats de saison et même des desserts sont préparés sur place.

Le patron compte sur le bouche à oreille

L’acquisition de l’entreprise a été mûrement réfléchie. Le gouvernement de la ville voulait initialement construire un entrepôt de pain. Le montage était trop compliqué et trop cher pour la boulangerie de Domart-en-Ponthieu. Mais l’associé a dit que c’était Banco lorsqu’il a repris la direction de l’hôtel.

Le loyer est modéré, les outils de travail sont en bon état, le mobilier est entièrement meublé, la cuisine est entièrement fonctionnelle et le bar est bien approvisionné en couverts et verrerie. Les trois ont retroussé leurs manches. « Pas de chichi pour rouvrir ce commerce. Nous privilégions le bouche à oreille et l’efficacité »ils ont dit.

Moins connue, La chtite auberge est ouverte toute la journée du jeudi au samedi et tous les midis du mardi au mercredi et le dimanche. Il sera fermé le lundi.

L’industrie fournira également des dépôts de pain et les cafés rouvriront en tant que tels. La dernière bonne nouvelle, c’est que l’industrie va créer des emplois pour le room service et les bars.

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