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Willy Schatz

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Épicerie | Exportations : opportunités pour l’épicerie et la nutrition spécialisée au Japon et au Vietnam


Dans les échanges du Japon avec l’UE, la France a une part importante, seule l’Italie a fait mieux. « Les Japonais ont une culture alimentaire très forte et sont très portés sur leur alimentation, donc la France a un fort potentiel de croissance sur ce marché à son image », explique Loïc Gavet, responsable du développement chez Business France à Tokyo. Très curieux, les consommateurs japonais sont souvent à la recherche de nouveautés, ce qui présente une opportunité pour les produits français. Leurs habitudes alimentaires changent et s’occidentalisent. « Le pain a récemment dépassé le riz, la viande a dépassé le poisson depuis quinze ans, et les changements sont profonds », démystifie Loïc Gavet. Une autre tendance forte du marché est la recherche de praticité. C’est notamment à travers le packaging, qui est un véritable élément différenciant.

Ne pas vendre des produits, mais des solutions

Jérôme Bouhet a fondé son cabinet de conseil O Délices gourmands et travaille avec des entreprises françaises pour les aider à s’implanter au Japon, comme Cémoi.Il estime qu’il est un bon connaisseur du marché japonais « Nous ne vendons pas des produits, mais des solutions. Par exemple, les hôtels s’automatisent par manque de main d’oeuvre. Pour le petit-déjeuner, il faut prévoir des produits adaptés à cette distribution « Bien sûr, la pandémie a stoppé le besoin de RHD, mais elle présente également des opportunités. « Nous avons eu des ventes record en 2020-21, avec un accent sur le commerce de détail, les consommateurs étaient privés de voyages et ils essayaient de s’échapper dans les rayons des supermarchésraconte Jérôme Bouhet, Les produits « à faire soi-même », comme les gouttes de chocolat à cuire, se portent également bien. » En revanche, si les produits français attirent, « Les recettes doivent être adaptées aux goûts locaux »il a insisté.

Le marché japonais a peu de barrières non tarifaires, et un accord de libre-échange récemment promulgué permettra une réduction progressive des droits de douane sur de nombreux produits jusqu’à zéro d’ici 2030. Pour une entrée sereine, Jérôme Bouhet recommande de faire appel à un importateur : « Même les grandes chaînes doivent passer par des intermédiaires, et aller en ligne peut parfois être compliqué quand on ne comprend pas le marché et son fonctionnement. Cela permet aussi une meilleure gestion des stocks. » résumé français « Que l’on travaille avec la restauration, les grands magasins ou l’industrie de la transformation, le potentiel est incroyable ! ».

Le Vietnam, un marché en croissance

Lan Nguyen, responsable commercial export pour Business France Vietnam, se trouve à 4 000 kilomètres de Tokyo, incitant les entreprises françaises à pénétrer le marché vietnamien. « C’est un marché stratégique pour la France », elle pensait. Deux objectifs doivent être distingués. D’une part, la classe moyenne vietnamienne se développe et son pouvoir d’achat augmente. Ces consommateurs, sensibles et curieux de la qualité des produits, peuvent être influencés par les ventes au détail, mais sont aussi de plus en plus influencés par le commerce en ligne. « Le Nouvel An chinois est une période charnière où les vietnamiens traitent leurs délices dans de belles boîtes »Lan Nguyen a expliqué. « L’affichage, le packaging est une des clés pour attirer les Vietnamiens, ils sont très visuels », insiste Antoine de la Mardière, directeur commercial de Classic Fine Foods Vietnam. Une autre clé est le prix : « Les produits français sont considérés comme haut de gamme et donc très chers, et le marché est très concurrentiel, tant pour les fabricants internationaux que locaux.  » a prévenu Lan Ruan.

patience et rigueur

Un autre marché est l’industrie hôtelière. Le Vietnam a une industrie touristique très développée, notamment haut de gamme, pour les touristes asiatiques (Corée du Sud, Taïwan, Japon, Singapour). Certes, avec la pandémie, la demande a été perturbée, « Le flux de passagers internationaux stagne et le pays développe le tourisme intérieur, mais la demande est différente et le menu est plus enclin aux produits locaux. », explique Antoine de la Mardière. Néanmoins, « Le marché est prometteur et le nombre de chambres augmente, et nous espérons renouer avec la croissance l’année prochaine »il a continué.

Le jeune directeur explique travailler directement avec les chefs des grands hôtels : « Ce sont les prescripteurs, ce sont eux qu’il faut convaincre. » La clé pour entrer sur le marché vietnamien ? « Patience et rigueurévoque Antoine de la Mardière, La douane vietnamienne est très stricte, il faut vraiment respecter la procédure, la liste des ingrédients, car il y a des tests en laboratoire, une fois approuvé, il n’y a pas besoin de changer l’emballage, passer par une procédure qui prend un à trois mois. »

Rejouer le webinaire

L’accord de libre-échange UE-Vietnam, entré en vigueur le 1er août 2020, prévoit la suppression de 99 % des droits de douane au fil du temps. Pour l’épicerie, la réduction est de 5 à 8 ans. Les droits de douane sur la confiture, par exemple, sont passés de 35 % à 29 %, à seulement 12 % quatre ans après l’accord et à 0 % six ans plus tard. Les produits de boulangerie, pâtisserie et biscuiterie ont été réduits de 35 % à 25 %, et les droits de douane ne seront plus que de 10 % dans quatre ans et nuls dans six ans.

Villefranche de Rouergue. Nutrition : un petit-déjeuner salé est-il une bonne idée ?


Le petit déjeuner peut faire partie de ces repas avec des différences très importantes entre les individus. Certaines personnes sont satisfaites de leur café, d’autres ne se passeront jamais de leurs sandwichs au beurre et à la confiture, et pour certains d’entre nous, les œufs, le jambon ou le fromage sont un bon début pour chaque petit matin. !

Rappelons aussi que, plus loin, le petit-déjeuner c’est comme notre déjeuner ou notre dîner, on mange de la viande ou du poisson, du riz, des légumes… parfois même le fast-food est plus important que d’autres !

Et alors?

Eh bien, comme vous le souhaitez!

L’avantage d’un petit-déjeuner salé est que vous limitez votre consommation de sucre le matin, vous pouvez donc consommer de petites quantités de sucre dans la journée sans en faire trop. De plus, l’apport protéique du matin peut conduire à une meilleure satiété pour ceux qui souffrent encore d’un ventre à 11 heures du matin… ainsi, la prise d’aliments non structurés à ce moment peut être évitée !

Cela dit, peu importe le type d’aliment salé que vous préférez, il doit être inclus dans votre ration quotidienne. En fait, trop de viande, de poisson, d’œufs ou de produits laitiers peuvent causer d’autres problèmes…

Dans tous les cas, le plus important est de rompre son jeûne le matin (le déjeuner c’est « casser le jeûne ») afin de recharger ses batteries et aussi pour que votre organisme ne stocke pas votre dîner du soir.

A chacun son rythme, à chacun son goût

Si, tout le temps, vous n’avez pas le temps et ne voulez pas manger ce repas, peut-être pouvez-vous le prendre un peu plus tard dans la matinée ? Dans ce cas, il doit être au moins deux heures avant l’heure du déjeuner, sinon vous perdrez l’appétit et ne mangerez pas beaucoup,… vous aurez donc faim à midi… vous mangerez donc des collations !

Vous l’aurez compris, chacun a son rythme et chacun ses goûts ! En matière de nutrition, un cadre équilibré est peut-être la meilleure façon de nourrir son corps, mais le cadre doit être absolument flexible et adapté à votre vie, vos habitudes, votre culture alimentaire ! Il n’y a rien de pire que de manger d’une manière qui ne nous convient pas !

Karine Juto Diététicienne Diététicienne, ph. 06 20 64 67 67

Lanouée : L’ancienne coiffeuse Cécile Le Moine devient coach Chrono-Nutrition®


traverser Rudivine Arjian
Publié le 04/06/21 12:02 Mis à jour le 04/06/21 12:03 Le Ploërmelais Voir mon actualité Suivre ce média Cécile Le Moine, coiffeuse professionnelle, a décidé de devenir coach en nutrition. (©Cécile Le Moine)

Originaire de Colpo et résidents Lannoé (Morbihan) Depuis plusieurs années, Cécile LemaineA 31 ans, sa carrière prend un tournant.

Coiffeuse professionnelle, responsable d’un salon dans la ville de Lanouée depuis plusieurs années, elle se lance dans une nouvelle aventure après avoir connu :

Je veux changer de travail et aider les autres. Le déclic est venu quand j’ai personnellement testé la méthode pour perdre quelques kilos.

Après avoir découvert la Chrono-Nutrition®, Cécile a développé un vif intérêt pour cet univers et a décidé de se former en 2020 pour en faire son métier.

Pendant quelques semaines, avec une attestation, elle peut accueillir des clients, enfants et adultes pour perdre ou prendre du poids : « J’ai un rôle d’accompagnement. Je suis le lien entre le médecin qui imagine la méthode et crée la procédure. Je mesure, coach elle, des suggestions, donner des idées de recettes. »

Accompagnement personnalisé de ceux qui aspirent à se spécialiser dans les métiers des autres.

touche : Cécile Le Moine 06 65 63 31 17. cecile.coachchrono@gmail.fr.

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Nutrition animale : Adisseo renforce sa capacité de production


Cette année, Adisseo a profité de l’arrêt technique bisannuel de son usine de Roche en Isère pour réaliser des opérations de maintenance sur ses outils de production tout en augmentant sa capacité de production.

Ainsi, le fabricant de l’additif de nutrition animale méthionine a investi 20 millions d’euros dans la modernisation de son outil industriel et 24 millions d’euros dans un deuxième réacteur pour augmenter la production de son sous-produit MMP, qui est la fabrication de méthionine. « Nous avons augmenté notre capacité de production d’environ 10% et notre marché croît d’environ 6% par an », explique Emmanuel Goldberger, directeur des opérations d’Adisseo France.Le nouveau réacteur sera mis en service cet été. Comme son prédécesseur, il approvisionnera les trois sites de production de méthionine d’Adisseo en Europe : Roussillon en Isère, Allier et Burgos en Espagne.

Le groupe produit environ 300 000 tonnes de méthionine par an et emploie 820 personnes, dont 350 aux Roches et Roussillon et 400 à Commentry. Le groupe Adisseo compte 2 350 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 1,5 milliard d’euros en 2020.

parier sur l’hydrogène

Pour accompagner la croissance de ses clients, principalement des industriels de l’alimentation animale, Adisseo a prévu d’autres investissements dans son usine iséroise pour « décarboner sa croissance ». « La capacité supplémentaire que nous allons installer dans les prochaines années doit se faire sans émettre de CO2. Notre objectif est donc de réduire le CO2 de 34 000 tonnes par an », précise Emmanuel Goldberger.

Pour y parvenir, Adisseo entend remplacer le méthane par de l’hydrogène dans son procédé de production de MMP. « Il s’agit de modifier nos installations, mais surtout de pouvoir disposer d’assez d’hydrogène », a prévenu le directeur des opérations français. L’expert en nutrition animale se donne trois à quatre ans pour développer ce nouveau procédé de production à base d’hydrogène. A ce stade, il ne quantifie pas le montant des investissements nécessaires pour réaliser cette transition énergétique.

Qu’est-ce qui a changé la réélection d’Emmanuel Macron ?

Quels sont les principaux enjeux du prochain quinquennat ? Pour cerner les enjeux de ce nouveau départ, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et éditoriaux accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.

j’ai trouvé une affaire

Alimentation – Le système Nutri-Score arrive au Luxembourg


Publié le 27 mai 2021 à 00h46

Alimentation : le système Nutri-Score débarque au Luxembourg

Luxembourg – Les fabricants et distributeurs de produits alimentaires au Luxembourg peuvent désormais utiliser un logo qui fournit des informations sur la qualité nutritionnelle de leurs produits.

Le collage du logo est toujours facultatif.

AFP

Le feu vert s’est allumé. Les fabricants et distributeurs alimentaires luxembourgeois peuvent désormais apposer le logo Nutri-Score sur leurs produits, a indiqué jeudi le ministère de la Protection des consommateurs. Le Grand-Duché a donc publié mardi sa réglementation en la matière.

Pour rappel, la France a développé et mis en place le système d’étiquetage nutritionnel Nutri-Score en 2017. Grâce au système, des informations sur la qualité nutritionnelle des aliments peuvent être fournies et les consommateurs peuvent comparer des produits similaires en un coup d’œil. Cela lui permet souvent de faire des choix qui sont bons pour sa santé. « Étant donné que la Belgique, l’Allemagne et d’autres pays européens utilisent également ce symbole, et que la plupart des aliments vendus au Luxembourg sont importés, les consommateurs luxembourgeois sont souvent confrontés à ce système d’étiquetage », a souligné l’autorité.

Gardez également à l’esprit que le collage du logo reste facultatif. Cependant, si le Nutri-Score est affiché sur les produits d’une marque, l’entreprise est tenue de l’afficher sur tous les produits de cette marque. Le Département de la protection des consommateurs prévoit de lancer une campagne d’information pour donner aux consommateurs « une meilleure compréhension du système, de ses forces et de ses faiblesses et de la manière dont il peut être utilisé pour faire des choix de consommation éclairés ».

Combattre le racisme dans l’alimentation


La nutrition n’est plus seulement l’affaire des femmes blanches, minces et souriantes qui mangent des pommes – clichés diététiciens vus sur Google Images. Mélanie Champagne, la directrice des communications du groupe, a déclaré : « Il y a quelques mois, dans la foulée du décès de George Floyd et des problèmes qui se sont posés, un groupe de travail sur le racisme nutritionnel a été formé. » Diététiste et Diététiste du Québec. Portrait de situation, en sept bouches.

Publié le 27 mai 2021

Marie Allard

Accroître la diversité pour de meilleurs soins

« Ne pas être raciste ne suffit pas », écrivait Nathalie Savoie, alors directrice générale de l’Association canadienne des diététistes, à ses membres en 2020. « Nous devons tous être antiracistes. Nous devons honorer nos privilèges, les reconnaître et [nous] Agissez pour mettre fin au racisme. « Un exemple ? Nathalie Savoie n’a jamais été « interrogée ou arrêtée sans raison », a-t-elle dit, lors d’un déplacement pour rencontrer une diététicienne ou une étudiante. Ce n’était pas toujours le cas pour ses collègues noirs, sinon leur nombre se raréfie. »

Les diététistes du Canada effectueront bientôt un sondage auprès de leurs membres pour voir ce qui découle de la diversité. Le groupe a également demandé au gouvernement fédéral des statistiques sur le sujet. « Il est important d’accroître la diversité des professionnels de la santé, car cela mène à de meilleurs soins pour les patients », a déclaré Barb Ledermann, co-PDG par intérim de Diététistes Canada.

conseils

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, PRESSE

Julia Lévy-Ndejuru, Nutritionniste chez Positive Nutrition

En 2016, 14,8 % de la population québécoise était immigrante, selon Statistique Québec. Si nous ajoutons la soi-disant deuxième génération – les enfants d’immigrés – cela représente 25% de la population touchée. Cependant, le contexte culturel est particulièrement important lorsqu’il s’agit de nutrition. « Dès que le client ouvre la bouche, le dentiste voit la carie, illustre la nutritionniste Julia Lévy-Ndejuru. Je dois tisser un lien de confiance, rassurer la personne et me parler de son comportement alimentaire. Une relation ça aide, c’est plus complexe. »

suggestion de modification

PHOTO DU COMPTE INSTAGRAM COLOR NUTRIENTS

Sandrine Staco est née au Québec, mais ses parents sont haïtiens. Elle a créé cette version haïtienne du disque d’équilibre.

Les conseils nutritionnels – manger des légumes frais et boire du lait – ne sont pas pour tout le monde. De nombreuses communautés ne sont pas habituées aux légumes crus et l’intolérance au lactose est courante, en particulier chez les Amérindiens, les Asiatiques et les Afro-Américains. « Beaucoup de gens pensent que ce n’est pas bon de manger de la salade sans elle », explique la nutritionniste Muriel Gnimadi. Cependant, dans de nombreuses cultures, plus de légumes sont cuits que consommés crus. C’est parfait comme ça.

Les immigrants changent souvent la façon dont il s’habille pour s’adapter à son environnement. Pour Sandrine Staco, nutritionniste, c’est par la cuisine qu’il peut faire vivre sa culture d’origine. « Il est important de réaliser que la nourriture est plus que la nutrition », a-t-elle souligné. Un exemple : l’odeur de la confiture de chadèk (nom créole du pamplemousse) lui rappelait sa grand-mère qui la faisait sur son réchaud. « Avant d’immigrer, il fallait incorporer des ingrédients locaux, disponibles et abordables dans la nourriture que l’on mangeait », conseille Muriel Genimadi. C’est une excellente combinaison! »

Le préjugé qui prive les Noirs de soins

Les préjugés – comme les Noirs n’ont pas de troubles de l’alimentation – sont nocifs.Des médecins américains (89 % blancs) dans une étude publiée dans thérapie comportementale année 2006. Lorsque Mary a été décrite comme blanche, les médecins ont constaté qu’elle était plus de deux fois plus susceptible d’avoir un trouble de l’alimentation que lorsqu’elle était décrite comme afro-américaine. Cependant, son histoire est la même. résultat? Les médecins ont cessé de se tourner vers Black Mary pour obtenir de l’aide.

« Quand j’ai commencé à travailler comme nutritionniste, j’ai remarqué qu’il y avait peu de diversité dans les personnes qui venaient me voir », se souvient Julia Lévy-Ndejuru. J’essaie de tendre la main aux personnes qui me ressemblent davantage et de les aider. Parce que je sais que dans notre communauté, les problèmes de poids peuvent être rarement discutés, mais ils sont très courants. Cependant, demander de l’aide et trouver de l’empathie est plus difficile. »

racisme et obésitéphobie

PHOTO BERNARD BRAULT, PRESSE

Muriel Gnimadi, Nutritionniste chez Manger en Harmonie

Malheureusement, le racisme et la grande phobie s’additionnent. Les personnes racialisées peuvent combiner différentes formes de discrimination, ce qui ajoute au préjudice subi – un concept appelé intersectionnalité.

« Une femme, une femme noire, surtout une immigrée, si elle vit dans un corps énorme, elle va certainement être discriminée dans la société dans laquelle nous vivons », a déclaré Muriel Genimadi. Il y a de fortes chances que ce soit plus compliqué que d’obtenir certains emplois, l’évolution des emplois, l’opportunité d’un partenaire amoureux. Mais cela ne l’empêche pas d’être possible. »

IMC trompeur

PHOTO DU COMPTE INSTAGRAM COLOR NUTRIENTS

Les conseils de Sandrine Staco pour bien évaluer la santé d’une personne vont au-delà de son poids.

Pour éviter de classer à tort certaines personnes comme obèses et en mauvaise santé, il faut regarder au-delà du fameux IMC. L’indice de masse corporelle – ou IMC – est un calcul simple entre la taille et le poids. « Il a été créé après une analyse des hommes européens », a déclaré Sandrine Staco. Seuls les hommes et les Européens. Cela peut-il s’appliquer à tout le monde dans toutes les cultures ? « Les Noirs peuvent avoir un « risque pour la santé » plus faible pour le même IMC », a déclaré Santé Canada dans son Lignes directrices canadiennes sur la classification du poids des adultes« De nombreux facteurs peuvent mieux nous aider à juger de la santé des gens », a déclaré Sandrine Staco.

Offrir de la formation

PHOTOS DU COMPTE INSTAGRAM EN HARMONIE

« Quand tout ton feed ressemble à la même personne (une femme blanche, mince, sans handicap, mon dieu, très contente), difficile de ne pas intérioriser ces normes », explique Marilou Morin, nutritionniste chez Harmony Eating.Instagram.

Il est évidemment impossible et peu souhaitable d’exiger des professionnels de santé qu’ils soient de la même origine que leurs patients. « Si une nutritionniste québécoise a une bonne sensibilité culturelle, est une personne curieuse et à l’écoute, même si elle travaille dans un milieu diversifié, ça ira très bien », a déclaré Muriel Gnimadi.

Offrir une formation aux nutritionnistes, en particulier aux nutritionnistes canadiens, qui souhaitent desservir diverses populations. « L’éducation et la formation continues des diététistes sont essentielles pour fournir des soins culturellement sûrs et anti-oppressifs », déclare Barb Ledermann. « Il est important de considérer nos préjugés, de nous remettre en question, puis de nous entraîner avec des personnes racisées », a déclaré la nutritionniste Marilou Morin, une femme blanche. Ils doivent faire partie de la discussion. Non pas parce que nous sommes des « sauveurs blancs » ; Parce que cela leur reviendra, tout comme cela nous reviendra. »

Nutrition : Un régime rapide et personnalisé ?


Cet article est extrait du numéro d’avril/juin 2021 de la revue Sciences et Avenir – Les Indispensables n°205.

manger. Rien n’est plus important… ou plus dangereux ? Selon une importante étude portant sur 195 pays, 11 millions de personnes dans le monde ont perdu la vie à cause d’une mauvaise alimentation en 2017. Lancette 2019. Pour aggraver les choses, 255 millions d’années ont été gâchées en une seule année à cause de maladies associées à ces déséquilibres nutritionnels comme l’obésité, le diabète et les maladies cardiaques ! Mais essayer de trouver le régime idéal pour tout le monde peut être une erreur : « Aucun régime ne convient à tout le monde car la réponse métabolique de chacun est différente après le même repas », a déclaré Tim Spector, professeur d’épidémiologie génétique au King’s College de Londres. On le voit de plus en plus clairement : les recommandations nutritionnelles traditionnelles ne tiennent pas compte des grandes différences entre les individus, ce qui rend difficile l’identification d’un régime qui préviendra les maladies métaboliques ou cardiovasculaires.

Vers une « nutrition génique » ?

Pour répondre à cette énigme et trouver le bon régime alimentaire pour chacun, des entreprises comme 24genetics proposent désormais des conseils en nutrition génétique. Engagement à aider chacun à adapter son alimentation à ses gènes. « Actuellement, il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir l’utilisation de l’information génétique pour faire des recommandations. La nutrition »Christina Holzapfel, chercheuse à l’Institut de médecine nutritionnelle de l’Université technique de Munich en Allemagne, a exprimé sa dissidence après avoir examiné toutes les études sur le sujet (nutriments, 2020). Parce que la génétique ne joue pas un rôle majeur là-dedans. « Deux jumeaux avec le même génome peuvent devenir très différents, y compris leurs réponses physiologiques au même repas ! » , révélé par Tim Spector. La découverte surprenante est le résultat de la plus grande étude nutritionnelle jamais menée, le projet Predict qu’il a coordonné, qui a examiné les réponses métaboliques individuelles de plus de 1 personne sur 000, dont 460 paires de jumeaux, à un repas.Premiers résultats en juin 2020 à médecine naturelle.

Cet article est extrait du numéro d’avril/juin 2021 de la revue Sciences et Avenir – Les Indispensables n°205.

manger. Rien n’est plus important… ou plus dangereux ? Selon une importante étude portant sur 195 pays, 11 millions de personnes dans le monde ont perdu la vie à cause d’une mauvaise alimentation en 2017. Lancette 2019. Pour aggraver les choses, 255 millions d’années ont été gâchées en une seule année à cause de maladies associées à ces déséquilibres nutritionnels comme l’obésité, le diabète et les maladies cardiaques ! Mais essayer de trouver le régime idéal pour tout le monde peut être une erreur : « Aucun régime ne convient à tout le monde car la réponse métabolique de chacun est différente après le même repas », a déclaré Tim Spector, professeur d’épidémiologie génétique au King’s College de Londres. On le voit de plus en plus clairement : les recommandations nutritionnelles traditionnelles ne tiennent pas compte des grandes différences entre les individus, ce qui rend difficile l’identification d’un régime qui préviendra les maladies métaboliques ou cardiovasculaires.

Vers une « nutrition génique » ?

Pour répondre à cette énigme et trouver le bon régime alimentaire pour chacun, des entreprises comme 24genetics proposent désormais des conseils en nutrition génétique. Engagement à aider chacun à adapter son alimentation à ses gènes. « Actuellement, il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir l’utilisation de l’information génétique pour faire des recommandations. La nutrition »Christina Holzapfel, chercheuse à l’Institut de médecine nutritionnelle de l’Université technique de Munich en Allemagne, a exprimé sa dissidence après avoir examiné toutes les études sur le sujet (nutriments, 2020). Parce que la génétique ne joue pas un rôle majeur là-dedans. « Deux jumeaux avec le même génome peuvent devenir très différents, y compris leurs réponses physiologiques au même repas ! » , révélé par Tim Spector. La découverte surprenante est le résultat de la plus grande étude nutritionnelle jamais menée, le projet Predict qu’il a coordonné, qui a examiné les réponses métaboliques individuelles de plus de 1 personne sur 000, dont 460 paires de jumeaux, à un repas.Premiers résultats en juin 2020 à médecine naturelle.

Son équipe a analysé la métabolomique des personnes, en particulier les taux sanguins de sucre dans le sang, d’insuline et de triglycérides, après le même repas sur une période de deux semaines. Elle a pu observer que les réponses à ces marqueurs métaboliques variaient significativement entre les individus, y compris les vrais jumeaux. « Seulement 48 % de la réponse glycémique est génétique, l’insuline chute à 10 %, les triglycérides à 0 %, ont expliqué les chercheurs. Cependant, les gènes peuvent avoir un autre effet sur la nutrition et la santé, par exemple en incitant les individus à choisir un type d’alimentation ou un autre ou à faire plus ou moins d’exercice. Mais il est faux de penser que ce que déterminent nos gènes est définitif. Par exemple, vous pouvez vous habituer à manger plus de brocoli. Les humains sont beaucoup plus flexibles qu’on ne le pense ! Selon Tim Spector, les observations montrent que les Afro-Américains sont 30% plus susceptibles d’être obèses que les Américains d’ascendance européenne, ce qui est davantage dû à des carences nutritionnelles qu’à la génétique.

Une bactérie intestinale bénéfique pour le cœur

Mais comment expliquer comment notre corps réagit différemment à un même repas ? L’étude met en évidence plusieurs facteurs environnementaux, notamment ceux qui régulent nos horloges internes : horaires des repas, activité physique, sommeil. L’élément le plus important, cependant, se trouvera en nous, mais ailleurs que dans nos gènes : ce sera… le microbiote intestinal. « Il a joué un rôle essentiel, ont expliqué les chercheurs. Bien plus que la génétique.Car ce sont ces bactéries, virus et autres parasites qui sont responsables de l’essentiel de la transformation Les aliments sont dans notre intestin, facilitant leur absorption. Pour comprendre notre alimentation, mieux vaut étudier les génomes de ces microbes que le nôtre !  » Par exemple, les bienfaits cardiaques d’un régime méditerranéen dépendront en partie de l’abondance bactérienne Prévotelle Dans nos tripes, selon une étude publiée dans la revue le 11 février 2021 médecine naturelleL’importance du microbiome dans la nutrition est soutenue par un deuxième article du projet Predict, publié dans la même revue en janvier 2021. « Des résultats très encourageants car il est beaucoup plus facile d’agir sur notre alimentation, nos habitudes ou notre microbiome qu’avec notre génome »sourit le généticien.

Choisissez des aliments qui optimisent le métabolisme

En combinant ces résultats inattendus, les chercheurs ont développé des algorithmes capables de prédire la réponse métabolique de chacun après un repas. Leur objectif : créer une application permettant à chacun de comprendre sa réponse nutritionnelle et de choisir des aliments qui optimisent son métabolisme. Elle peut s’apparenter à des applications de nutrigénomique existantes, en ajoutant de nouveaux paramètres comme le microbiome ou les rythmes circadiens, mais surtout, elle s’appuiera sur des résultats scientifiques. « Notre application Zoe a prédit cette réponse métabolique avec un taux de réussite de 80 % ! « bienvenue Tim Spector. « Ces deux études sont très importantes dans la recherche en nutrition personnalisée, mais il n’est pas possible actuellement d’établir des recommandations nutritionnelles qui fonctionnent pour tout le monde.Tempérer Christina Holzapfel. Cependant, l’IA combinée à des données détaillées sur le phénotype de chacun ouvre d’énormes possibilités pour développer de telles recommandations personnalisées.. «  Enfin un outil qui nous permet de manger sans nous rendre malades.

Quand l’obésité est dans nos gènes

La génétique joue un rôle secondaire dans l’obésité. Cependant, des mutations dans les gènes impliqués dans la régulation de la graisse corporelle et de la satiété ont été trouvées chez moins de 5 % de la population obèse. Ils sont principalement impliqués dans la fonction de la leptine, une hormone produite par le tissu adipeux qui est chargée de signaler à l’hypothalamus que nous sommes rassasiés. Une production insuffisante de leptine ou une signalisation altérée aux cellules de l’hypothalamus amène les individus à trop manger sans s’en rendre compte, ce qui conduit souvent à l’obésité (dès les premiers mois de la vie). De plus, certaines maladies génétiques rares peuvent entraîner une prise de poids importante. C’est le cas du syndrome de Bardet-Biedel, qui est associé à l’obésité, comme la rétinopathie pigmentaire, qui entraîne parfois une déficience intellectuelle, ou du syndrome de Prader-Willi, qui provoque des retards cognitifs et moteurs et des déséquilibres hormonaux, et peut entraîner l’obésité. et l’anorexie.

Neurotrophie : ou comment retrouver son poids idéal sans régime


« C’est une méthode enrichissante et durable car elle s’appuie sur la satisfaction de l’esprit et du cerveau pour retrouver de bonnes habitudes tout en respectant son propre corps »explique Nathalie Cravatte, praticienne qui a assuré avec succès le coaching neurotrophique pendant deux ans.

Psychologie et pratique douce

Cette approche se distingue des soins traditionnels tels que les régimes divers, les suivis diététiques ou nutritionnistes, ou encore la chirurgie… Il s’agit d’une perte de poids en restaurant un poids santé grâce à de bonnes habitudes alimentaires convenues. Le but est de sortir des cercles vicieux et des croyances alimentaires.

« Nous nous engageons à perdre inconsciemment le poids de la vie et à limiter les kilogrammes d’émotions »L’accent est mis sur Nathalie Cravatte qui s’appuie sur l’hypnose pour modifier les schémas inconscients.

La personne doit apprendre à écouter son corps afin de reprendre de bonnes habitudes. Cela permet de reconstruire à la normale d’un point de vue physique.

Parce que cette méthode ne cause pas de revers, elle est souvent plus durable que les méthodes d’alimentation traditionnelles. « Beaucoup de gens viennent me voir car ils ont tout essayé sans réel succès »a ajouté Nathalie.

Nos choix alimentaires dépendent souvent de notre mode de vie et de notre état d’esprit, ce qui peut entraîner des déséquilibres.

Lors de la prise en charge, les comportements alimentaires seront diagnostiqués pour un rééquilibrage et une récupération à long terme.

Nathalie Cravatte a développé un cours de 9 séances d’environ 1h, à raison d’un cours par semaine le premier mois puis toutes les 2-3 semaines par la suite.

« Dans la première séance, nous enregistrerons les sentiments et les émotions qui conduisent aux comportements alimentaires pour les étudier et augmenter la prise de conscience. Demandez-moi pourquoi je mange quand je n’ai pas faim » Nathalie a continué, « Dans les séances suivantes, on débriefe et je travaille avec l’hypnose pour faire oublier les gestes et les aliments qui causent du mal ».

Prendre soin de soi et acquérir une nouvelle confiance vient naturellement grâce à l’hypnose. Ce dernier permet de se libérer de la carapace de protection que l’on s’est construite, de se libérer des fardeaux du passé et de se faciliter la vie.

Vers de meilleurs comportements alimentaires

« L’effet de manger devant un ordinateur ou une télévision sur la prise de poids n’est pas anodin et est souvent causé par un malaise social » Nathalie a continué. Ainsi, par exemple, il y a beaucoup de travail à faire pour comprendre le regard des autres ou pour réduire le stress au travail.

« J’étais avec une jeune femme qui a eu une vie professionnelle et personnelle terrible. Elle avait vraiment besoin de changer sa façon de penser à elle et à sa vie. Elle a perdu pas moins de 32kg en 9 mois »Nathalie conclut qu’en tant que pionnière dans son domaine, elle apprécie l’efficacité de l’outil de thérapie brève.

Combien coûte un coach en neuronutrition ?

Nathalie Cravatte est située dans les régions de Bastogne et Luxembourg et propose 2 formules. A savoir son programme de 9 rendez-vous en face à face, ou un programme en ligne de 3 mois qui permet un accès en ligne à vie.

Laissons Natalie conclure : « C’est simple, parce que le cerveau n’aime pas perdre, et on gagne en légèreté grâce à ça. »

Pour plus d’informations contactez Nathalie Cravatte au 0479 508 147 ou visitez son site internet www.nc-coaching.eu

Bienfaits, utilisation et recommandations nutritionnelles du sirop d’agave


Mis à jour le 19 mai 2021 à 14h04

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Nathalie Negro (nutritionniste aux Bains Bridal Les Bains)

Souvent utilisé comme alternative saine au sucre, le sirop d’agave est de plus en plus présent sur notre table. Que contient cet édulcorant ? À quoi ça sert? et comment l’utiliser au mieux? Explications par Nathalie Negro, Responsable du Pôle Nutrition au Centre de Thermothérapie de Brides les Bains.

Le sirop d’agave est comme une sève liquide de couleur miel. Il provient de la plante mexicaine agave, apparentée au cactus. On en extrait un nectar contenant 97% de fructose, qui est ensuite transformé en sirop liquide en ajoutant de l’eau et du glucose.

Il est moins calorique que le sucre blanc

À 318 calories pour 100 grammes contre 399 calories provenant du sucre blanc, le sirop d’agave est 20 % moins calorique que son homologue classique. « Il a un index glycémique très bas de 30-40, bien inférieur au sucre blanc (65) et au miel (73)Précise Nathalie Nègre. C’est un atout pour les personnes atteintes de diabète car sa consommation ne fait pas monter la glycémie. Également recommandé pour ceux qui regardent leur gamme de produits, car cet IG bas ne provoque pas d’hypoglycémie réactive lors de la digestion, ce qui peut provoquer l’appétit.

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Il a un fort pouvoir sucrant

Il en faut peu pour faire ressortir la saveur : parce qu’il contient beaucoup de fructose (plus de 40 %), le sirop d’agave est plus sucré que le sucre pour le même volume. « Cela a un gros avantage : comme ajouter beaucoup de boissons sucrées, de yaourt ou même de pâte à gâteau ne sert à rien, l’utiliser permet de réduire un peu l’apport calorique de la préparation, Natalie Negro a commenté. En moyenne, 83 grammes de sirop d’agave peuvent facilement remplacer 100 grammes de sucre.

chaud ou froid

L’avantage de sa présentation sous forme de sirop est qu’il se dissout très facilement aussi bien dans les plats chauds que froids, contrairement au miel ou aux cristaux de sucre qui restent généralement agglomérés. En cuisine, vous pouvez également l’utiliser comme nappage pour remplacer le chocolat ou le sirop de fruits : il s’applique facilement au pinceau, ce qui permet de créer un joli présentoir miroir avec moins de calories. Enfin, en raison de sa saveur neutre, il peut également être ajouté à des plats salés comme des brochettes de crevettes ou du magret de canard pour ajouter de la douceur sans changer la saveur.

il apporte des minéraux et des vitamines

Si le sirop d’agave contient des nutriments, il est plus faible. Selon l’USDA, une cuillère à soupe de sirop d’agave fournit 1,2 mg de vitamine C rafraîchissante et 13 mg de potassium, un minéral qui aide à réguler le rythme cardiaque.

Attention à ne pas abuser

Néanmoins, il est recommandé de consommer le sirop d’agave avec modération, environ une cuillère à café par personne et par portion, plutôt qu’une consommation quotidienne en raison de sa forte teneur en fructose, car ce composé est déjà présent à l’état naturel dans les fruits, les légumes et les féculents. « Cependant, à fortes doses, il favorise l’apparition de graisse viscérale (aggravant le risque de stéatose hépatique, d’insulino-résistance, etc.) et augmente le taux de triglycérides sanguins. A long terme, ces graisses peuvent entraîner l’émergence de maladies cardiovasculaires », Natalie Negro a expliqué.

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Ces conseils nutritionnels simples mais très efficaces


La température monte un peu, imaginons le bel été à venir.Sauf pour beaucoup, l’été est une saison que nous ne vivons pas à fond car petit compliqué Cela ruine souvent nos vies. Le plus commun : nos estomacs. Mais qu’ils soient spongieux, un peu ventrus ou pleins, ils méritent aussi une journée ensoleillée.Pour se sentir mieux, certains d’entre nous ont besoin perdre la graisse du ventre, voici quelques conseils nutritionnels simples et efficaces qui peuvent changer votre vie.mais être Physiquement et mentalement au meilleur de leur formeIl est toujours recommandé de consulter votre médecin avant de commencer une perte de poids

Perdre du ventre : les bonnes habitudes alimentaires

pour perdre la graisse du ventre, notre alimentation doit faire quelques changements. Certains aliments doivent être limités voire interdits, tandis que d’autres doivent être consommés avec modération. Il y a même quelques traîtres parmi nos amis les légumes que nous pensons être nos alliés dans la perte de poids mais qui finissent par contribuer à un ventre gonflé.Oui, quand on cherche perdre la graisse du ventre, nous commettons souvent l’erreur de nous précipiter sur les salades et les crudités.pour perdre la graisse du ventre De meilleurs résultats aime les légumes cuits Sa fibre améliore la digestion. Les épices et les herbes ont de nombreuses propriétés anti-ballonnements qu’il ne faut pas négliger. Grâce à leurs saveurs, elles nous donnent également une touche plus légère sur le sel, et certaines épices ont même des effets brûle-graisses.Les haricots, les grains entiers, les fruits et les légumes sont essentiels dans notre alimentation quotidienne lorsque nous en avons besoin perdre la graisse du ventreMerci pour leur la teneur en fibres, Ils favorisent une bonne digestion et préviennent les ballonnements.

En revanche, d’autres aliments tels que Le sel, le sucre blanc et les produits laitiers doivent être évités.sel il augmenter l’appétit Et favoriser la rétention d’eau, entraînant un gonflement du bas du corps et de l’estomac.pour perdre la graisse du ventre, puis on évite les plats industriels, les sauces salées, la charcuterie et le fromage.si les produits laitiers Ayant une place dans notre alimentation, il faut tout de même les consommer avec modération.Les produits laitiers contiennent du lactose, qui peut parfois causer ballonnementAlors on se donne un petit morceau de fromage (au lait cru de préférence) et un petit morceau de yaourt, mais c’est tout.Cette sucre blanc, si vous souhaitez perdre du ventre, il sera définitivement banni de votre liste de courses.il ne contient pas Pas d’alimentation, et deviennent rapidement des graisses difficiles à déstocker.pour perdre la graisse du ventrenous le remplaçons par sucre complet Il contient du potassium, du magnésium, du calcium et du phosphore.

Perdre de la graisse du ventre : Conseils pour de grands changements

Vous voulez perdre du ventre, il y en a plusieurs astuce inattendue Cela pourrait révolutionner notre façon de manger. Par exemple, Faire griller son pain. Le pain est vraiment déconseillé quand on veut perdre du ventre car ça gonfle le ventre, toast c’est plus facile à digérerboire un verre de limonade Devrait être votre première action de la journée si vous voulez Perdez la graisse du ventre. Bien que cette boisson soit acide, elle aide à restaurer le système digestif. On a tendance à négliger une habitude simple mais efficace : Soyez conscient que vous mangez. Pour éviter les ballonnements et la sensation de satiété après 30 minutes, assurez-vous de prendre le temps de mâcher, de vous reposer et de vous asseoir. Fini de manger devant l’écran ou la télé.

Avant d’entamer un régime ou un rééquilibrage alimentaire, il est indispensable de consulter un médecin ou un nutritionniste pour trouver une solution adaptée à votre métabolisme.

Aussi, souvenez-vous que le plus important est de vous sentir bien dans votre peau, pas de voir un chiffre sur la balance.

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